Naruto Sekai Densetsu
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Rei
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Chūnin
中忍

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Kiri Gakure
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Sam 25 Déc - 16:39
Spoiler:

Et voici que l'aventure débute, à la faveur d'une mission que le village se décide à confier à celui qui, jusqu'à maintenant, se contentait de traiter les quelques patients qui lui rendaient visite. Après tout, un ninja se doit de donner perpétuellement le meilleur de lui-même, et ce n'est pas en se tournant les pouces qu'il saura se montrer utile aux siens. Néanmoins, la mission qui se loge dans le courrier de Rei n'est pas sans lui déplaire. Il s'exécute avec une attitude acariâtre, affichant froidement son mécontentement.


Ce sont mes premiers pas sur la muraille. A vrai dire, d'ordinaire, j'ai plutôt tendance à rester enfermé à l'hôpital, ou à visiter la clinique. Lorsque j'ai reçu l'enveloppe me sommant d'effectuer un tour de garde, j'ai eu comme une envie de tout fracasser, ou de simuler un malaise. C'est tout simple, il aurait suffit d'une dose un peu trop importante de placebos, et bonsoir les symptômes d'un état critique. Seulement, je manque de moyens ces derniers temps, et je juge de bon augure d'obéir docilement à ceux qui peuvent renflouer mes fonds. En y songeant, la garde, ça ne doit pas être si éreintant que ça n'y paraît. Etant données les circonstances, il paraît que j'aurais même droit à une zone peu risquée. Naturellement, ils savent très bien que ce n'est pas le combat qui fait mon prestige, raison pour laquelle on m'assigne à quelque chose comportant un moindre risque. J'espère seulement qu'il ne s'agît pas d'un coup foireux !

J'escalade les marches menant au sommet de la porte avec lassitude, observant avec dédain ma destination. Ces bougres d'âne m'ont obligé à sortir de mes draps soyeux à 5:30 am. La relève s'effectue à 6:00, je me dois d'être ponctuel et coopératif, pour ne pas susciter le mécontentement d'un "camarade". Quelle corvée, décidément. En montant les marches, je m'arrête à mi-chemin pour m'allumer une clope. Je m'intime à cet instant de prendre du recul, de rester relax. Le tabac, c'est un vice pour un bien. La garde, ce n'est qu'affaire de patience. Cesse de te plaindre, estomac en bois de cagette, tu attendras 12:00 pour pour te rassasier. Je souffle ma première inhalation de nicotine et me remet en route. A mesure que je progresse, une silhouette s'affine dans la brume, statique. Ses traits se dévoilent petit à petit. C'est certainement l'individu chargé de me transmettre les instructions qui m'ont été confiées. Il m'interpelle avant que je ne parvienne à sa hauteur.

    >>. Bordel, t'en mets du temps ! Grouille-toi, on t'attend pour la relève ! Tous les autres sont arrivés et sont déjà au travail ! Je présume que tu es Rei, le dernier nom qui figure sur la liste !
    >>. Exact. C'est ma première, expliquez-moi comment ça marche, je vous prie.

Un bref speech m'apprend que les gardes fonctionnent par contact radio. Ainsi, je ne peux de mon plein gré faire retentir l'alarme, puisque celle-ci consiste en un appel dirigé vers le responsable technique de cette mission, qui possède les manettes. J'en suis navré, moi qui aurait apprécié mettre un peu d'action en cas d'ennui trop pertinent. Le boss m'indique ensuite le poste que je dois rejoindre, situé à l'Ouest, non loin de la porte. Il avance qu'il s'agît de la zone la moins périlleuse, puisque l'ennemi à tendance à éviter les zones trop découvertes, et qu'à cet endroit la brume est peu présente.

Je me dirige vers la place en question, et me trouve violemment giflé par un courant d'air, lequel emporte ma cigarette dans son élan. Pour un peu, je me serais mis à vaciller. Rien d'étonnant à ce que la brume disparaisse vite de cette zone. Je songe brièvement au fait que j'aurais à combattre ce vent infâme six heures durant. Quelle plaie. Ceci dit, force est de relativiser, puisque ceci semble profiter à mon rôle.
Une heure déjà, et je m'ennuie à mourir. J'appuie pour une deuxième fois sur la gâchette de l'appareil qu'on m'a confié pour lancer un "R.A.S.", à donner toutes les demi-heures pour que le patron s'assure du bon déroulement de la surveillance. Pour combattre la démence, je m'invite à des scénarios épiques, brandissant mon kunai recourbé, égorgeant un fantôme venu des entrailles de l'Enfer pour dérober la princesse prisonnière du donjon sur lequel j'effectue mes prouesses acrobatiques ! Puis je me retrouve encerclé par une myriade d'affreux Jojo, des démons antédiluviens venus plonger Kiri dans le chaos ! Avant que de n'être mis à l'amende pour quelques sermons venus tout droit de l'oreillette qui me relie à la radio, et donc à celui qui m'a cramé dans mes exercices puérils, comportement inconcevable pour un soi-disant Chuunin. Et merde, j'ai 16 ans quoi... J'adopte un air désoeuvré et redirige mon regard en direction du dehors, attendant qu'un dragon vienne dans l'optique de dévorer la belle aux bois dormant.
MJ
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Sam 25 Déc - 21:30

Commentaire:

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Bien mecton, on va se la faire à la 24h chrono, sauf que dans ton cas, ce sera 6h chrono, avant ta délivrance, c'est-à-dire les douze coups de midi, jolie princesse, avant de pouvoir vaquer à des occupations plus futiles.

7h: La brume est toujours aussi épaisse, et tu peines à y voir quelque chose, surtout avec le froid qu’il fait, ouvrir tes yeux te faits pleureur comme une madeleine tellement que le vent irrite ta petite frimousse. Tu denses sur places, tout en jouant avec ton briquet afin de te tenir chaud, enfin, t’essaie. Personne à l’horizon tu te tâtes à quitter ton poste quelque secondes pour aller chercher une torche qui fera office de chaufferette pour ce matin. Cèderas-tu à la tentation ?

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Dim 26 Déc - 6:47
C'est à croire que le froid a les crocs, pour dévorer ainsi la chair du frêle médecin, déchirant sa peau pour le ravager jusqu'aux os. Une morsure dévastatrice, qui n'admet aucune forme de pitié à l'égard des Kirijins. Le climat finit par devenir trop embarrassant pour que Rei ne tente pas de trouver une solution. Le briquet n'aura pas suffit. Il lui faut innover.


Je me les caille. Par malheur, je ne possède guère de graisse, ce qui s'avère peu propice à ce que je puisse me tenir chaud sans soutien quelconque. Bien sûr, je reconnais ma faiblesse vis-à-vis d'un climat aussi cruel. Il manque ce zeste de pression pour activer un message nerveux susceptible de sécréter de l'adrénaline, ce qui me semble idéal pour retrouver une température corporelle acceptable. A défaut de ce genre de miracle, et puisque, le patron étant impitoyable à l'égard de mes extravagances, je suis condamné à rester immobile, je n'envisage qu'une dernière solution. En dépit du rôle qui m'incombe, j'ai l'intention de délaisser mon poste pour m'accaparer une source de chaleur. Pour se faire, je dois me dérober du regard de notre patron avec finesse. Ce bougre ne comprend rien à la manière dont on doit traiter ses hommes, je ne me sens en aucun cas coupable dans l'entreprise que j'occasionne. Et puis, il l'a lui-même affirmé, la zone dont je suis en charge comporte peu de risques, il n'y a pas de quoi en faire tout un plat.

J'attends patiemment que la situation soit propice à ce que je puisse réaliser mon idée. Je guette avec assiduité le décors planté devant la porte, non sans espérer du plus profond de mon être qu'un détail ne frappe à l'oeil de tous. Et soudain, le miracle se produit. Un corbeau prend son envol en signalant ce dernier par une puissante exclamation de sa voix. Je saisis cette opportunité et entame les mundras nécessaires à la création d'un Bunshin. Le leurre apparaît quasiment dans l'immédiat et me laisse le monopole de me faire la malle, juste le temps de descendre quelques marches pour récupérer l'un des flambeaux qui éclairent le village quand la visibilité est peu claire, la brume étant rarement clémente. Je dois ensuite croire en un nouvel instant béni des Dieux pour récupérer ma place, mais ça ne semble pas être une mince affaire, maintenant que tout le monde est alerte au moindre mouvement suspect.

Tout à coup, comble de ma fortune, j'entends ma radio faire des siennes. Le patron semble vouloir avoir de mes nouvelles. Je regarde brièvement l'heure, avant de constater qu'il est 07:35. J'ai donc cinq minutes de retard pour donner mon "R.A.S.". Seulement, le premier de mes soucis réside dans l'action qu'effectuera mon clone. Il s'agît d'un Bunshin basique, pas assez mûr psychologiquement pour prendre la moindre initiative. Je contemple la torche brûlante qui commence à écarter le froid qui m'a mordu la chair. Je n'ai pas le choix, je lance le signal, bien que mon clone reste immobile. Au risque de trahir mon leurre, je ne veux guère précipiter l'échec de ma mission. Le patron saura-t-il détecter l'anomalie gestuelle correspondante à la réponse de son appel ? On ne peut parler à la radio sans effectuer le moindre déplacement de segment. Raison pour laquelle ce qui devait être une bénédiction se transforme en plaie.
MJ
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Dim 26 Déc - 12:28

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Hihi, décidément cette mission va te rester dans la peau =P Tu arrives à donner ton RAS, avec quelques que minutes de retard, que le chef n’hésite pas à te le faire remarquer sur un ton très moralisateur, te rappelant l’importance vitale de cette mission, d’apparence banale. Heureusement pour toi, grâce à la brume, le chef du secteur ne remarque pas la supercherie, mais un autre problème entre en compte, le Bunshin. Comment le faire disparaitre discrètement, même avec toute cette brume, le nuage de fumée que déclenchera l’annihilation du Bunshin ne passera pas inaperçu, surtout aux yeux des autres gardes en service.

8h : Toujours rien de spécial hormis des animaux qui chassent leurs déjeuners au loin…le temps semble long quand on se fait ch*er. Tu recommences donc à te plonger dans tes rêves, à te prendre pour un super héros, afin d’avoir chaud, même si t'as trouvé une nouvelle source de chaleur. Mais cette dépense accrue calorie afin de garder une température corporelle minimal, te fait avoir un malaise profond, et tu tombes dans les vapes…quand tu te réveilles, tu vois la tête du chef penché au dessus de la tienne. Un fameux sermon commence, il commence à t’injurier de tous les noms d’oiseaux qu’il connaissait, mais à voix basse quand même pour ne pas se faire remarquer et laisser les autres ninjas concentrer sur leurs travails du moment, se demandant comment un type comme toi avait fait pour devenir chuunin. Tu t’excuses du mieux que tu peux mais il n’en à que faire. Il fini par te menacer d’aller faire un rapport au Mizukage si une autre erreur se produit.

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Dim 26 Déc - 16:32
Le jour semble être hostile à l'égard de Rei. Quand bien même il aurait voulu s'accaparer le moyen de réaliser sa mission sans trop d'embarras, il n'aurait pas pu échapper aux défaillances de son métabolisme. Secoué par sa propre hystérie, le médecin, à la suite de ses prouesses, succombe à sa maladie.


Pour le clone, ça n'a pas été un gros soucis. J'ai bien compris qu'il était nécessaire qu'il disparaisse de la vue des autres sans qu'ils ne puissent se douter de la supercherie. Malin comme un primate, j'ai tiré profit de la force des courants d'air à cette hauteur pour l'éjecter par dessus le rempart. Immédiatement plaqué contre le mur et tombant, le clone disparu dans une fumée effilée accolée au mur, peu susceptible d'être remarquée. Le plus gros bémol fut le "plok" qui se fît ouïr, que je su étouffer en simulant une quinte de toux, qui finalement en devint une véritable, puisque ma gorge ne supporte guère ce type d'excès.
Pour palier à ce problème, je tire une clope de mon paquet et dégaine mon briquet pour enflammer sa pointe. Mais voilà que, soufflant un écran de nicotine, je suis happé dans un nouvel univers, fruit de mon imagination. Je discerne, à travers le brouillard que je viens d'occasionner, des coups d'épée, des flammes, des ombres agitées. Un village brûle.

Je bande précipitamment mon arc et décoche une flèche qui vient se loger dans le gorge d'un monstre de sadisme, tandis qu'il s'essayait à profiter du corps d'une pauvre enfant. Je me déplace en trombes vers cette dernière, pour m'assurer de son intégrité. J'arrive à proximité et constate avec stupéfaction l'éclat de son visage. Elle est belle comme un diamant. J'ai envie de... Je la saisis par le bras et l'invite à rejoindre une petite bâtisse à l'abri du danger, déchirant quiconque désire nous importuner de mon Samehada, dont j'hérite pour le voyage onirique. Enfin, parvenu à destination, je l'intime de se défaire de ses habits, prétextant que son état m'inquiète. Elle s'exécute, et je lui explique qu'en tant que médecin, il était nécessaire que je l'ausculte à certains endroits pour déterrer toutes les imperfections naissantes. Elle me donne son accord. Quel pied ! Mais tout à coup, alors que mes doigts sont à quelques centimètres de sa nuque, la bâtisse explose. La jeune candide est balayée par une poutre, broyée contre une façade. Du ciel noir débarque un phoenix, hostile. L'oiseau de feu pique sur moi en clamant son indignité de m'apercevoir à désirer faire ce genre d'abus. Pourquoi ce rêve m'a-t-il rendu si obsédé ?

Je distingue des mots dans le piaillement céleste qui s'approche de moi. Ils sont difficiles cependant à définir précisément, et je remarque que mes sens sont de plus agités. Tout devient encore plus trouble, je perd la raison. Mais je parviens, malgré tout, à entendre la prononciation de mon nom. "Reeei, bordel !...

    >>... t'es en mission là ! Tu dois surveiller ton secteur, bon sang !
    >>. Oups...
    >>. C'est tout ce que t'as à dire ? C'est inadmissible ! Un ninja ne doit pas se comporter comme tel ! Même les Genins sauraient se débrouiller mieux que toi, sombre idiot ! J'en toucherais deux mots au Mizukage, je le répète, tu es indigne de ton grade.

Il semble vraiment contrarié, mais je n'ai rien pour me justifier. Je me suis assoupi, certainement soutenu par une petite montée cardiaque, trop importante pour que mon système cérébrale central ne se déconnecte pas quelques instants. Un malaise, en somme, que je n'ai pas remarqué moi-même, ce qui m'a empêché d'avertir mon supérieur de cet imprévu. Je remarque, à la faveur de cette infortune, que mon esprit est devenu vraiment fort, à pouvoir m'enfouir dans un monde sans se soucier des phénomènes externes, comme la douleur, par exemple. Je n'omet pas le pouvoir du froid anesthésiste cependant, même s'il est moins prononcé que naguère. J'ai presque envie de sourire, mais je me garde d'une telle offense à jetant un coup d'oeil vivace en direction de l'autre despote qui s'adonne au plaisir de jurer. Je nourris une aversion particulière à l'idée qu'on m'insulte, et il ne semble pas vouloir cesser. Si Monsieur a eu la chance de bénéficier, par héritage, d'une santé impeccable, ce n'est pas mon cas. J'ai certainement connu des étapes plus insupportables que les siennes. Ce fils à papa se serait peut-être inventé au suicide, à ma place. Je dois admettre que, pour une fois, il m'a mit en rogne. Je déteste qu'on me rabaisse.

Je me redresse et lui jette un regard profondément obscur, furieux. Je veux que mes yeux s'enfoncent dans les siens, lui insufflent la terreur, traversent sa peau et glacent son sang, que son coeur ne fasse qu'un tour et qu'en comble de désespoir il se plie devant moi, suppliant. Je tire mon kunai recourbé de ma sacoche et le glisse sous sa gorge, sans montrer le moindre signe de défaillance. Noir comme la nuit, je le fixe, le darde du regard, et le coupe sur un ton assuré.

    >>. La pointe de cette arme est envenimée par une substance secrétée par un insecte du désert. Il s'agît du poison le plus mortel qui soit. Une seule goutte, et c'est votre être entier qui dépérit, en l'espace de 7 secondes, pour les plus tenaces. Bref. Vous savez, je suis atteint d'une maladie grave. Être dans mon état, c'est tout comme avoir ce kunai constamment contre ma glotte. Sauriez-vous le supporter, vous, qui semblez valoir mieux qu'un piteux Chuunin ? Dîtes ce que vous voulez au Mizukage, je n'ai que faire d'elle, je sais ce que je vaux. Mais ne m'insultez plus comme si je n'étais rien de plus qu'une sous-merde. Je retourne à mon poste. R.A.S.

Bien entendu, beaucoup de baratin sublime ce speech d'une pointe de péril. L'histoire du venin, par exemple, est sorti tout droit de mon imagination, et le fait que mon kunai soit couvert de poison va dans ce sens aussi. Je ne prends ce genre d'initiative que lorsqu'un combat se profile. Je me détourne du patron et m'allume une nouvelle clope, avant de constater que le vent s'est calmé et que la brume se fait de plus en plus dense, phénomène assez embarrassant.
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Dim 26 Déc - 22:43

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XD Je crois que j’ai trouvé mon Post du Mois. Tu m’as trop fait rire avec ton passage de Samehada ^^

Bon reprenons. Le chef du secteur, chuunin aussi, mais ayant déjà quarante balais, croit à ton baratin, et ravale sa fierté, même si son regard semble être tout autre, voulant garder un semblant d’autorité. Il tourne les talons et retourne au centre de logistique, bien au chaud, lui !

9h : Les gardes à tes cotés, ont remarqué ta prise de bec avec ton supérieur, certains se moquent de toi, tandis que d’autre son impressionner par ton tact, ou bien ton inconscience, ils ne savent pas vraiment comment appeler cela, et te congratule du mieux qu'ils le peuvent. Dans la lassitude la plus totale, tu retournes aux avant poste avec une nonchalance qui n’a d’égale celle de Shikamaru. Jusqu'à ce que quelque chose attire ton regard, tu vois une silhouette, puis deux, pour finir à en distinguer une bonne dizaine. Là, tu sautes sur ton talkie, mais après quelques essais infructueux, tu te rends comptes qu’il ne fonctionne pas.

Que faire ?
- Tu peux courir jusqu’au garde suivant pour utiliser son talki au risque de te refaire sermonner pour avoir quitté ton poste si le chef te surprend.
- Tu peux aussi sonner l’alerte, mais attention, blame et déshonneur seront au tournant si cela s’avère être une fausse alerte.
- Tu peux encore, attendre, que les silhouettes se dessinent mieux pour vraiment savoir ce que c’est. Et au pire, les autres gardes pourront toujours avertir le supérieur.

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Lun 27 Déc - 18:27
Ainsi le médecin, fier de son prestigieux handicap, remballe avec habileté l'impudent qui s'arrogeait le droit de le rabaisser sans s'imaginer que la révolte pouvait survenir à tout moment, notamment chez les individus nonchalants, qui abhorrent l'idée d'être troublé dans le repos de l'âme. Ejectant en pinçant les lèvres un soupçon de tabac, il observe d'abord ses camarades.

Il en est un qui, insoucieux, hausse les sourcils et affiche un sourire en coin, lâchant un soupir. Celui-là doit croire que j'ai une conduite puérile, mais qu'importe. Un autre apparaît plus complice, et me présente un clin d'oeil, comme s'il soutenait ma cause indirectement. Pas de temps à perdre à me faire des amis, je ne lui rend pas ce geste et pose mon regard de l'autre côté de la porte, vers les avant-postes situés à ma gauche. Un nouveau paparazzi lève sa main et en dégage son pouce, en acquiesçant de la tête. Celui-ci me fait de la lèche, ça se voit gros comme une montagne. Je loge l'embout de ma cigarette à l'orée de ma cavité buccale pour en inspirer l'arôme, et le recracher assez brutalement vers ce faux-ami, de sorte à ce qu'il m'aperçoive moins bien. Je déteste être fliqué. Mes pas se succèdent jusqu'au muret qui m'est destiné et je me livre à une contemplation minutieuse de ma zone de surveillance.

C'est le calme plat. Cette corvée devient usante, au bout d'un certain temps. Déjà deux heures que je suis ici, et je n'ai d'autre occupation que celle d'essayer de trouver un rythme aux crépitements que délivre mon flambeau, en m'imaginant qu'il s'agît d'une symphonie. Se divertir par la musique, c'est une technique vieille comme le monde. Mes yeux se sont offerts une vue d'ensemble, comme celle que cherchent à occasionner les bouddhistes lorsqu'ils s'exercent à méditer. Rien ne se distingue, mis à part ces quelques espaces rescapés de la brume qui arborent des formes différentes selon ce qu'elle leur laisse de répit. Tentant de rester éveillé, je me reprend et me concentre dans l'une de ces "failles", cherchant à deviner l'écosystème qui s'y terre. Mais alors, je discerne derrière cet espace que je fixe comme un mouvement, puis un point scintillant lancé dans ma direction, qui disparaît avant que de ressurgir, un peu plus proche à chaque fois. Bientôt, il se multiplie. Des yeux ?

Soudain, la certitude me frappe de plein fouet, et je constate qu'un groupe d'homme arrive. Immédiatement j'empoigne l'accessoire nécessaire à ce que je puisse établir un contact avec la radio principale. J'actionne la gâchette pour donner mon rapport. Seulement, je n'y parviens pas, il semble qu'un corps étranger bloque le mécanisme. Ces points lumineux, comme tant d'yeux de chats dans la nuit, comme une nuée de luciole auxquelles, dans la panique, on attribue par sa volonté propre des dards plus gros que nos bras, continuent leur progression vers moi. J'ai beau précipiter mon doigt contre le système de déclenchement de contact radio, rien n'y fait. L'appareil est mort. L'adrénaline commence à monter, et je n'ai plus froid. J'aurais presque chaud, à vrai dire, angoissé d'être à ce point désemparé face à la situation. Des gouttes de sueurs dévalent mon front, et je sais que je suis en état d'urgence. Il me faut faire un choix, et le plus vite possible. Seulement, en ne sachant pas à quoi m'attendre, je ne peux pas décemment donner l'alerte. Je pense immédiatement au clin d'oeil de celui à ma droite. Pas une seconde à perdre.

Je ne sens pas mes jambes lorsque je me précipite vers l'avant-poste voisin. Je ne mets guère de temps à le rejoindre, en réclamant haut et fort son talki, de sorte à pouvoir avertir le patron de notre mission d'une arrivée d'origine inconnue. Il le dégaine en vitesse et n'hésite pas à me le lancer, profitant de l'occasion pour sortir un kunai de son étui, comme agité, lui aussi, mais prêt à se battre. Il est vrai que la tournure que je donne aux évènements semble dramatique. Mais soit, mieux vaut ceci que d'attendre que temps se passe. Là, l'appareil marche à merveille, et je peux sans attendre faire mon rapport.

    >>. Chef ! Groupe d'étrangers en provenance de la zone Rempart Ouest, Avant-Poste 2ème ! Quantité d'individus indéfinissable en raison de l'obstacle Brume, mais probabilité d'une équipe d'une dizaine d'hommes. Taille et sexe indéfinissables. Progression tempérée, environ 6 km/h ! Veuillez vous présenter dans la zone à risques ! Dépêchez-vous, c'est flippant ces conneries !

Remerciant rapidement celui qui sût me prêter main-forte en lui refilant son bien, et sans vouloir écouter ce qu'avait à répondre le boss de la mission, je retourne toujours en trombes vers le lieu qui m'est destiné, manquant de passer par dessus le muret tant la vitesse fut exagérée. La main fermement maintenue contre la pierre dont nous étions les hôtes, je balayais de nouveau la zone du regard, avant que de percevoir que le groupe s'est dispersé, la distance entre les yeux étant plus importante que naguère. Tous me fixent, et je me sens comme... visé ? Intimidé, je ne vois pas d'autre alternative que celle de me planquer derrière le muret, m'agenouillant, et attendant que le responsable s'amène. Si un kunai débarque à l'improviste depuis la brume, je ne veux pas en être la cible.
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Lun 27 Déc - 20:47

Commentaire:

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L’alerte est lancée, et le patron réplique en vitesse, jumelle à la main. Il arrive près de toi, et te demande où précisément, tu le lui montre du bout des doigts, il regarde donc avec attention, et au bout de quelque seconde, il fini par produire un petit son, semblant à un râle. Là, il te félicite pour ton travail et te dit qu’il revient dans un instant, mais pour le moment, il te demande de garder à l’œil les ombres se déplaçant. Cinq minutes plus tard, le revoilà, avec un air plus décontracté. Il te dit alors que ce sont plusieurs équipes qui reviennent d’une mission commune. Fausse alerte.

10 : Depuis tantôt rien ne se passe, tout semble avoir repris sa lassitude d’antan, c’est là que deux jolies jeunes kunoichis se pointent, caisse en carton en main, distribuant à boire et à manger à tous les gardes sur le muret. En gros, tu as carte blanche pour ce post…

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Rei
Rei
Chūnin
中忍

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Kiri Gakure
Âge : 16
Taille/Poids : 1m65/55kg
● Disponibilité du joueur ● : Je suis associable. Casse toi.

Fiche Ninja
Evolution de l'XP:
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PV:
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Ven 31 Déc - 3:48
Somme toute, l'inquiétude se dissipe. Rei se rassure et reprend son poste, sans trop de conviction, mais en soufflant un bon coup. La frayeur n'est pas la plus prisée de ses émotions. Certains s'en amusent, ceux-là sont heureux de s'offrir du challenge. Un médecin ne peut ceci dit pas se régaler du délice de l'adrénaline sans se méfier de sa survie.

Deux heures se sont écoulées. La moitié du chemin a été parcouru, mais que prudence se garde. Je ne veux encourir aucun péril. J'ai beau être lâche, je ne me blâme pas de ce qui s'avère être une qualité dans mon cas. Je ne me fais aucun doute sur l'idée que certains veuillent se rire de moi. Qu'il en soit ainsi. J'ai le mérite d'être sincère, tous savent à quoi s'attendre en cas de danger. J'en connais plus d'un, couards hypocrites, qui n'hésiteraient pas à imiter ma conduite pour s'assurer de leur bien-être, à l'instar de moi-même, en dépit de leur égo. Que personne n'ose avancer que je suis peu fiable. La menace se terre là où l'on ne soupçonne pas sa présence. Il y a matière à douter de chacun, cela va sans dire. Bref, je sais d'ores et déjà comment me défendre, si ce n'est pas en combattant, avec les mots. Que Dieu bénisse l'être humain et la communication qu'il a su embellir, peaufiner, travailler au fil des millénaires. C'est le meilleur exercice de manipulation qu'on puisse connaître à ce jour.

Et soudain, un phénomène tout à fait particulier vient appuyer ma pensée, comme pour plaider ma cause. Deux femmes, aux silhouettes alléchantes, aux gestes délicats, surviennent, pleines de marchandises croquantes, dans l'optique de divertir les hommes de guet. Je devine qu'il n'en est pas un qui ne songe à dévorer autre chose que les quelques friandises qu'elles transportent. J'assiste à un spectacle navrant. Un par un, embobinés par le charme physique de ces douces safrettes, pervertis par le rêve de les bobeliner, ces grands aventuriers des coeurs tombent leur rôle pour s'adonner à ce petit plaisir qui s'offre à eux. Les filles valent parfois mieux que la clicaille, si j'en puis croire le spectacle qui s'offre à moi. Je m'impatiente. Qu'elles viennent, moi aussi j'ai faim !

    >>. Salut mon choux, un petit encas pour tenir le coup ?
    >>. Z'avez quoi ?

Je présume qu'elle se penche volontairement pour m'afficher pleins phares sa poitrine sur-dimensionnée, probablement refaite par un chirurgien sombrant, vicieux à souhait, et ce afin de me présenter, simplement, une barquette gourmande, qui ne peut en rien soulager mon estomac capricieux. Je dois admettre que cette demoiselle recèle d'une bien jolie fortune. Cependant, j'ai faim. Et le constat de cette carence de nourriture trouve le mérite d'éveiller au plus profond de moi-même une rage ô combien... manifeste.

    Bordel ! Mais t'es bonne qu'à être bonne toi ! Hâte-toi d'aller chercher autre chose à grignoter, si c'est ton job ! Et tire pas cette gueule, sinon quoi je te somme de m'offrir ton...

Je ne vois pas l'imprévu surgir. Et pourtant, pour me l'asséner avec tant d'ardeur, elle a du la préparer, cette beigne. C'est ma toute première fois, ce genre d'expérience avec les filles. On ne m'a jamais appris que l'espèce féminine est aussi susceptible. Je ne m'en suis douté qu'au couvert de certaines rumeurs. Moi qui pensais que le mâle, dominant, avait su soumettre son alter ego, je me découvre consterné par ce répondant spontané et d'une force absolument... terrifiante ! Ses yeux me dévisagent, me font m'enfouir en plus profond de moi-même, et je me rends soudainement compte que mon territoire spirituel n'est pas assez vaste pour fuir ce supplice. J'ai comme une envie de laisser tomber une larme, et je me retiens de ne pas bondir par-dessus le muret. Décidément, je ne sais pas m'y prendre avec les gens. Elle finit par tourner les talons et quitte le rempart, en compagnie de son amie. J'observe tout autour de moi le regard rancunier de mes "camarades". Je ne dévoile rien de la tragédie et m'en retourne à mon poste... affamé...
MJ
MJ
¤ Maitre du Jeu ¤

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Ven 31 Déc - 10:47

Commentaire:

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Il va s’en dire que la mandale reçue a eu pour effet de faire rire tous tes collègues. Surtout les nouveaux venus, remplaçant les ninjas ayant terminés leur horaire. La, le chef remonte, se demandant ce qu’il y a si drôle dans un tour de garde, inconsciemment, il sait que tu es là source, mais n’en a pas la preuve, alors, il s’efforce juste de te jeter un regard réprobateur. Et s’en retourne au QG. Une demi-heure après, tu vois enfin les équipes parties en mission, que tu avais vu au loin, à quelque dizaines de mètres des remparts, là, tu prends ton talkie et annonce leurs arrivées. Dans l’anonymat le plus totale, une petite porte blindée s’ouvre pour les laisser entrer.

11h : Aussi mort que dans la culotte de Mei, tu commences à saturer, mais tu tiens bon, parce que tu sais qu’il te reste encore une heure et que tu ne comptes pas craquer si proche du but, rien que pour ta fierté. Là, tu vois ton supérieur sur le qui vive, il a un sac au dos, et tu en déduis qu’il s’apprête à partir en mission, là ton envie de vengeance se réveille, il va payer pour son air condescendant. Tu attends qu’il passe le seuil de la porte et là, tu te mets à pisser par-dessus le rempart et arrive à toucher le chef de secteur. Heureusement pour toi, la brume s’est subitement épaissie, mais tu comptes quand même user d’une petite ruse pour s’assurer qu’il ne voie pas que c’est toi le commanditaire de cette farce de mauvais gout, surtout s’il avait la bouche ouverte =D

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