[ Konoha] Mizuhiko Dobashi

1. Comment se nomme votre personnage ? A quel Clan appartient t'il / est t'il rattaché ?
   
   « Hey ! Je suis Mizuhiko-chan, appelez moi Doba-chan ! Pour nouer une relation d’équipe saine entre nous, ce soir, on se murge chez moi, amenez vos moitiés ! » Mizuhiko Dobashi à sa future équipe de ninjas .
   
   
   Mizuhiko est son nom, Dobashi pour les intimes. Jeune femme dans la fleur de l’âge, croquante et explosive à souhait. Cachez les sousous dans votre popoche, la jeune ninja est vénale, mais n’a pas de veine…D’aucuns subodorent une relation lointaine des Mizuhiko avec les Yostuki au vu de leur teint hâlé ainsi que de leurs tempérament impulsifs.
   
   
   
2. A quel Village votre personnage appartient-il ? Comment considère t'il son village ?
   
   « Je viens de Konoha, c’est mon chez moi !On y dors et mange bien, le ciel est souvent bleu, mais qui s’en soucie ? Et on y touche pas, sinon gaffe à vot’ popotin ! »
   
   
   Membre du village de la feuille, la jeune brune est à classer dans le genre de personne aux idéaux honorables, noble et droits. Ou pas. Du genre protectrice voire mère poule envers les simples civils, c’est toutefois une ardente partisante de la paix, et préfèrerait pour tout au monde un monde de bisounours plutôt que celui des combattants.
   
   Sachant toutefois lever les armes aux moments opportuns, c’est une véritable furie dès qu’on lui donne l’occasion de s’en prendre à un adversaire ayant – ne serait ce – que tenter d’utiliser la violence contre son havre de paix. Quelque soit le but de la manœuvre adverse d’ailleurs…
   
   
   
3. Comment décririez vous votre personnage ?
   
   « I’m Legen…wait for it, wait for more… dary !”
   
   
   Loyale, droite, Honorable…sont des mots du dictionnaire. La jeune femme dont nous parlons actuellement ne convient pas forcément dans l’idée caractéristique que l’on se fait du combattant lambda. Ni même de celui d’un combattant d’ailleurs. Elle semble même en être tout le contraire. Vénale – dans le sens où vous le souhaitez qui sait ? – elle place l’argent comme une motivation suffisamment grande pour justifier de nombreuses choses. Lâche à ses heures, c’est le genre d’individus pas forcément portés sur les batailles perdues d’avance où les chances de survie approchent du néant. Dans ses cas là, à son avis, mieux vaut remettre l’objet de la visite à plus tard, et tracer au plus loin du danger. Chose dont elle s’acquitte, pour le moins, très bien.
   
   Autrement, c’est une jeune femme joviale, amicale, souriante et sympathique à souhait. Elle possède véritablement la fibre sociale et parvient, en général, à s’attirer les bons sentiments de ses pairs. Que ce soit grâce à son physique avantageusement utilisé ou son caractère enjoué.
   
   Elle sait néanmoins faire la part des choses, et s’acquitter de son devoir lorsque le besoin s’en ressent. Tant que ce n’est pas l’heure de son émission à la télévision, et sous réserve qu’elle se sente suffisamment d’aplomb pour tout donner.
   
   
   
4. Quel type de ninja est votre personnage ?
   
   " Hey... tu crois qu'il est mort? Attends on va s'en assurer "* Bruit de grosse technique *
   
   Dans les rares moments – et encore – où son métier lui demande de se donner à fond, la belle ne recule devant aucun stratagème, ni aucune limite pour laminer littéralement ceux qui lui font face. Plutôt portée sur un sang bouillonnant et une impulsivité marquée, c’est le genre de personne à préférer une attaque unique, mais occasionnant le maximum de dégâts. Elle mise autrement sur les esquives et l’utilisation de capacités handicapant lourdement son adversaire, de manière à lui permettre de frapper le plus possible sans gêne. On pourrait autrement la cataloguer dans les utilisateurs du combat au corps à corps.
   
   
   
5. Quelle enfance a eut votre perso ? Parlez nous de sa famille.
   
   « Maman, tu trouves pas que tu bois trop de café ? Non, sérieux, tu deviens un peu chiante… * SBAFF* Aouch…v’ais rien dit… »
   
   
   Que pourrais-t-on avancer de l’enfance d’une jeune femme épanouie et heureuse de son sort actuel ? Née d’une mère cafetière et d’un père-colateur ; sa petite enfance c’est déroulée sans réelle anicroche. Une enfant aimée, une gamine choyée. Une maison bien-aimée et un clan qui prospérait. En bref, tout s’est déroulé pour le mieux dans le meilleur des mondes. Les seules péripéties furent du genre à se balader dans le jardin et tomber sur la grande méchante tante Tatsuki et ses fameux bisous « de la mort qui tue ». En somme, aussi dangereuse qu’un nazghul en tongs me direz vous.
   
   Une fois l’âge fatidique – et je pèse mes mots – de quatre ans atteints, elle fut inscrite à l’académie des ninja, où elle s’illustra comme étant une enfant à problèmes. Non, ses notes étaient dans la moyenne, sans pour autant être ni catastrophiques, ni astronomiques, mais moyennes. Ce qui gênait véritablement étant la fâcheuse tendance kleptomane de la jeune fille. Une tendance très vite corrigée par sa chère mère à grand coups… d’arguments bétons.
   
   Sa mère puisqu’on en parle, Motoko , actuellement à la tête du clan Mizuhiko, est d’une femme d’action, une femme ayant l’esprit inné du leadership, et entretenant des relations de confiance avec la plupart des familles du village. C’est d’autre part une femme avec une poigne d’acier et un esprit aiguisé. Aussi sévère que son mari n’est flegmatique. Ce dernier, Dosu, est l’inverse même de sa femme, il est la gentillesse personnifiée, laissant bon soin à son épouse de diriger les affaires de la famille tandis qu’il vaque à ses occupations. Un couple qui se complète. Ah l’amour…
   
   
   
6. Quel est l'évènement le plus marquant de la vie de votre personnage ?
   
   « Genin à 19 ans … Non, on ne rit pas ! »
   
   
   S’il y a bien une chose que la jeune femme ne saurait oublier ; s’il y a bien une chose qui lui fait remonter des souvenirs, comme le cassoulet à un ancien étudiant célibataire, si quelque chose mérite d’être inscrit à son panthéon personnel ; LE jour à marquer d’une pierre blanche. Ce fut celui… de la naissance de son petit canari, Titi. Mort dévoré par son chat, Neko.
   
   Autrement, elle entretien également le vague souvenir d’un entrainement dans les terres même de Konoha Gakure, sur le domaine de sa famille. Dès qu’elle sut maîtriser les bases du fonctionnement ninja, elle quitta le circuit scolaire, afin de s’entraîner longuement aux techniques spéciales de la famille Mizuhiko, le Jinton, les techniques affiliées à la vitesse, aux réflexes et à la precision, plutôt que la force brute ou le repos sur des techniques extérieures à son propre organisme. Huit longues années de sa vie consacrées à l’étude exclusive de leur affinité innée au détriment de tout autre enseignement ninja. Huit années où l’étudiant ne peux se présenter à aucun examen ninja, s’entrainant en lieu et place du domaine, vivant en autarcie parmi la famille et les formateurs de la famille.
   
   Ressortie de cette aparthée de sa vie, à l’âge de dix huit ans, elle dut repasser une année en académie, afin de se remettre à niveau, et passer son examen l’année suivante, à 19 printemps.
   
   
   
7. Quelle est la principale motivation de votre personnage? Quel est son nindô ?
   
   « Yes ! We can Travailler moins pour gagner plus…et non l’inverse ! »
   
   
   L’argent. Ces petites coupures, quelles que soit leur couleur vous ouvrent tellement de portes. Sortez quelques liasses, et même le regard le plus froid trahira d’un écarquillement le temps d’un battement de cils. Certes, il ne fait pas forcément le bonheur mais y contribue. L’héritière des Mizuhiko voue ce que l’on pourrait appeler un culte à ces petites coupures. Pour un peu de sousous dans la popoche, il est possible de faire de nombreuses choses, mais le montant des sousous doit justifier de l’importance de l’action. Il y a malheureusement des choses qui ne s’achètent pas. D’où l’avantage de bénéficier d’une plastique attirante et d’un charisme – hum hum – certain.
   
   
   
8. Quelle est la personne en laquelle votre perso a le plus confiance ? Envers qui votre perso est-il le plus loyal ?
   
   « Maman… J’dois partir en mission… Oui j’te rapporte des souvenirs… non maman t’as assez de bibelots comme ça… »
   
   
   L’amour d’une fille pour sa mère est d’une force incommensurable. L’amour les unissant est comme un lien indéfinissable. Dobashi et Motoko, bien que se crêpant souvent le chignon, sont deux personnes quasiment inséparables. Leur relation de confiance est édifiée sur le principe de la franchise. Quitte à récolter au passage une baffe supersonique, de la part de la première ou de l’autre. Tout cela se finissant souvent sur le jeu du chat. A celle qui rattrapera l’autre. Essayez seulement de les suivre du regard… Vous l’aurez compris, la brune voue une confiance aveugle en celle qui lui offrit le monde.
   
   En sus, bien que très peu portée sur le combat, et faisant preuve de motivations souvent douteuses et doutées, c’est une personne ayant une confiance totale en son kage, et bien que sa confiance n’est guarantie qu’à sa famille, n’ignorant pas les souhaits de bonheur pour le village de celui qui le gouverne, elle se donnerait corps et âme à la défense de sa patrie. En théorie.
   
   
   
9. Quel est le point fort de votre perso ? Sa plus grande faiblesse ?
   « Comment ça ? Quoi, impulsive et susceptible ? Mais tu racontes n’importe quoi ! Mais non j’te dis ! Espèce de … * Sbaff * »
   
   
   Il est clair que la jeune brune est une personne bonne vivante, tranquille et à l’écoute. Néanmoins, cette petite nature semble également faire preuve d’une naïveté sans bornes, pouvant se faire avoir malheureusement assez facilement. Car accordant plutôt aisément ses bonnes grâces.
   
   Une autre tare de son comportement, qui pourrait s’avérer aussi compromettante que délicieuse, s’avère être son impulsivité mariée à une susceptibilité atteignant des sommets. Ces derniers traits de caractère s’avèrent être les plus marqués chez elle. Peuvent s’avérer utiles et lui rendre des – mauvais – services.
   
   
   
10. Quels sont les gouts de votre perso ? Votre perso a-t-il des manies ? Des habitudes ?
    
    « Alors, à midi, manger, à quinze heures, sieste, dix-huit heures, entrainement… Bon on va mettre l’entrainement à vingt heures, des fois que j’me réveille pas…merde j’ai soirée à 20 heures…dilemme quand tu nous tiens ! »
    
    S’il est bien une chose que notre bonne petite jeune fille ignore, c’est l’expression « réglé comme du papier à musique ». Aimant vivre à cent à l’heure tout en restant éloignée de tout danger mortel, elle mène son existence en cotoyant un joyeux bordel. Vivons simplement ! Dit-elle, ce qui lui vaut souvent de se faire malencontreusement remonter les bretelles pour cause de retards quels qu’en soient la sorte. Si ce n’est littéralement boutée le derrière par sa mère, goutant très peu ses retards lors des dîners de famille – retards qui se font étrangement de plus en plus rares, aurait-elle compris la leçon ? -.
    En sus, elle vénère littéralement la réglisse, et il n’est point rare de la voir sucotter un épais baton de couleur sombre, le regard dans le vide, et les pensées ailleurs. Cela constitue son péché mignon. Mignon, mais considéré comme fallacieux par certains – ou « phallucieux » serait plus juste – tout simplement incompris par d’autres.
    
    
    
    
11. Votre perso a-t-il des préjugés ? Que déteste t'il ?
    
    « Non mais…je suis sur-qualifiée pour ce travail, non adressez vous à un autre…Non je vous dis, il fait trop…froid-chaud-humide-sec-ça pue-ya trop de parfum- HAAA !! » Mizuhiko Dobashi, après que quelqu’un se lui ai demandé d’attraper un déserteur utilisant les insectes…
    
    
    Etant par essence relativement ouverte d’esprit, Doba-chan ne nourrit pas de préjugés négatifs sortant des croyances populaires, mais n’a pas non plus d’à priori positifs sur les gens. Se basant principalement sur la première impression que dégagent ses interlocuteurs, elle ne saurait nourrir d’autre préjugés que ceux qu’ils lui donnent à voir.
    
    La seule chose ayant mauvaise gageure à ses yeux, outres ceux ayant une aversion prononcée pour elle-même ainsi que le village de Konoha, ce sont les insectes ainsi que les revenants et tout ayant trait de près ou de loin à la nécromancie. La brune considère ces dernières choses comme des aberrations de la nature, préférant ne pas avoir affaire à ses genres d’embêtement.
    
    
    
    
12. Comment votre personnage définirait-il sa carrière en quelque mots ? Quel est son grade ?
    « Non mais c’est un super métier ninja…Bon faut pas faire des projets pour son soixante-dixième anniversaire, mais sinon c’est très tranquille ! »
    
    
    Promue Juunin depuis l’âge de vingt deux ans, la jeune Dobashi entretiens l’espoir secret de faire partie de l’escouade d’élite de sa patrie. Le regard qu’elle jette sur son passé lui permets en effet de sentir une certaine bouffée de fierté. Quand aux évènements marquant de sa carrière. Certes pas forcément celle d’un génie, mais plutôt acceptable, au vu de sa fulgurante ascension entre les postes.
    
    Promue ninja de niveau moyen à vingt ans, et montant en grade deux ans après. Sa nomination en tant que Genin à l’âge de dix-neuf ne la réjouissant guère, car principalement obligée de passer l’épreuve avec des enfants. Ayant commencé sa carrière tard, elle a rapidement atteint un niveau acceptable dans les forces armées bien que jeune. Mais il y a toujours moyen de gagner plus !
    
    Il faut toutefois reconnaitre que posséder un rang à responsabilités ne change pas forcément la personne. Avez-vous déjà vu des ninja de haut rang affalé sur le bar d’une taverne, des chantant des chansons aussi paillardes que « la kekette qui colle » ou encore débattant en un monologue appuyé sur l’utilité de l’eau de javel dans la cuisson d’un soufflé ?
    
    
    
13. Et vous ?
    
    « Je sais pas si vous voyez ce que je veux dire, mais des fois j’entends comme une voix dans ma tête qui dicte tout ce que je fais…c’est flippant… »
    
    
    Que dire sinon que j’ai trouvé une bible active sur mon univers préféré ? Du reste, j’ai découvert le forum alors que mon dragon, grand dada, s’est arrêté pour ses petits besoins. J’ai alors trouvé un doppelganger ayant pris forme et place d’une boite aux lettres et m’attaquant en outrance. J’ai pu résister à son assaut, grâce à ma grosse épée « cure-dent » … jusqu’à ce que je me rende compte que c’était une vraie boite aux lettres. Et pour perpétuer sa mémoire, j’ai pris le prospectus et ait demandé à marraine la bonne fée l’endroit situé sur la carte…