~~> Soso Motoku [Kareki-Oto]

→Description Physique

Cette existence qui est la nôtre est aussi éphémère que les nuages d'automne.
Observer la naissance et la mort des êtres est comme observer les mouvements d'une danse

Passons à la description du faciès. Doté de traits fins, le paradoxe survient avec cet air rembruni dénué d’apparents défauts, vient éclore l’œuvre finalisée d’un travail méticuleux. Cette facette patibulaire et prépondérante malgré elle, ne distinguant que par les cicatrices se trouvant au niveau de ces yeux bridés, se voit compléter des cheveux noirs décrêpés particulièrement lisses bordés de mèches éparses et imparfaitement coiffés, retenus en arrière par une ficelle bleue en soie. Une couleur de peau proche de la blancheur, une teinte de visage adoucie mettant en avant son fidèle sourire à la fois moqueur et joyeux ainsi qu’un œil droit à moitié fermé omniprésent sur cette petite frimousse, cachée plus tard par la présence d’un masque de guerrier.

Vient accompagner ce visage musculeux, mais sans aucun doute ovale, une stature imposante ainsi qu’une envergure et une carrure de choix. Une posture sévère s’ajoute à tout cela, préférant la méditation à la musculation, son endurance physique et sa capacité à combattre munie d’une arme blanche s’est vu diminuer au fil du temps. Ce qui ne l’empêche point à mettre en pratique ses connaissances en Iaidō qui se focalise plus sur la spiritualité et l’harmonie des actions que la puissance de la technique en elle-même et sa difficulté d’exécution qui à travers plusieurs étapes inflige des dégâts minimes d’une efficacité médiocre. Comme on s’y attendait, ne possède qu’un poignard insignifiant léguer par son grand-père, léger, simple qui peut lui servir avant tout pour se dégager d’une agression que la provoquer.

D’une taille moyenne avoisinant le mètre quatre-vingt-neuf centimètres, d’une masse corporelle imposante approchant les quatre-vingt-quinze kilos, le guerrier de Luoyang préfère porter les habits larges que la tenue officielle des shinobi, dans le cas d’une mission de haute importance qui met sa vie en péril, il se munit habituellement de son armure couleur du soleil et du ciel, même si tactiquement cette dernière réduis considérablement sa vitesse quand il s’agit d’accomplir une retraite stratégique ou rattraper un ennemi. S’habillant plus précisément d’un Hakama qui se résume en une veste de coton brut porté revers gauche au-dessus et d’un pantalon grisâtre marqué de deux plis derrière et 5 plis se trouvant devant ainsi qu’un dosseret rigide de couleur noire variant à celle du bleu nuit pendant les jours de soleil. Affectionnant particulièrement ce vêtement-ci comme dit plus haut pour sa largeur, mais aussi pour son rôle important qui permet de masquer les mouvements des pieds et donc annuler une donnée importante pour l’ennemi en face afin de tromper son regarde, sa vigilance et donc ses pensées premières sur ce qui suit.

De nature calme et détendue, on le retrouve habituellement assis au milieu d’une chambre vide désinfectée entourée de bougies sans odeur en train de méditer et prier si ce n’est se concentrer pour un futur combat. Jambes croisées, colonne vertébrale droite, menton rentré et nuque étirée. Les mains en position mudra, apposé sur les cuisses bloquées contre le bas du ventre et enfin les yeux couleur de nuit fixés sur un point vide de la salle mêlée à un rythme respiratoire distingué par son expiration silencieuse par le nez et une inspiration non forcée qui suis le cours des choses. Pour continuer sur cet ordre , nous allons parler de cette fameuse peau couleur de sang faisant son apparition pendant les combats de grandes envergures tantôt noire couleur des ténèbres lui permettant décrocher plusieurs victoires. Selon certain il s’agirait d’une transformation démoniaque composée d’un casque en forme de dragon volant formant un « U », une cuirasse de torse et de dos faits de matériaux résistants et tissu rigide composé avec une once de cuir pour renforcer le tout ainsi que des épaulières sur lesquelles on a imbriqué une sorte de plaquettes métalliques colorées d’un rouge écarlate ,des jambières et protèges pieds en fourrure le tout luisant d’une touche artistique bien particulière symbolisant les sept vertus des samurai accompagnées de l’illumination intérieure.

Qu’on a légué à Soso lors de ses combats lui permettant de se surpasser et mettre à terre tout ses ennemis, mais qu’on est-il vraiment ? Je vous laisserait plutôt croire en une liaison extérieure qu’un lieu avec le maitre serpent[A revoir dans les capacités de Cao Cao

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→Description Mental

La durée d'une vie est semblable à un éclair d'orage dans le ciel.
Elle se précipite, tel un torrent dévalant une montagne abrupte.

†Garantissant la plus grande satisfaction lors de cette lecture aux lecteurs, normal quoi huhu. Dans le cas contraire, veuillez contacter le service remboursement de la société Cao Cao & co !) Made IN TG <3 †
|Voici donc pour vous The Best One, Cao Cao ! Motaku ! Wouhou...*La ferme Cao cao* ok é_é |

Caractérisé par cette beauté morale et intellectuelle admirée de tous, celle qui plait à l’œil par l’harmonie de ses formes et l’esthétique de ses couleurs rayonnantes animées par des yeux brillants à la lumière du jour et une corpulence idéale était tout aussi présente.

Encore jeune et sans réelle expérience avec le monde extérieur, Cao Cao Motaku développa une douceur et une émotivité bien rare, ces dernières lui permirent de s’attirer la sympathie des uns ainsi que l’attachement des autres de par sa sensibilité profonde et sa joie de vivre. À la fois ambitieux avec un air arriviste, il parvint toujours à réunir les conditions idéales qui lui permirent d’atteindre ses buts dans des situations qu’on qualifiera de lucratives. Toutefois, une once de libéralisme fait son apparition en cet être mystérieux quand il s’agisse de sujets sociaux et économiques.

La doctrine en question est animée par l’esprit religieux qu’il s’est sûrement forgé à travers sa vie quotidienne irriguée par un contact constant avec ses ancêtres lui ayant enseigné la tolérance, le calme et l’agressivité munie d’une hargne profonde qu’il faut toujours garder en soi afin de préserver le pays qui est le sien, quelle que soit la situation générale et peu importe la cause qu’on dira perdue d’avance pour laquelle il restera fidèle. On peut aussi lui assigner deux tendances qu’il acquit le long de sa jeunesse qui s’oppose par définition, la première porte à s’affirmer et vise l’autonomie dans le sens de l’individualité et non pas l’indépendance en elle-même qui refuse toutes sujétions ou autorités.

La deuxième se résume en une soumission aux règles ancestrales favorisées par un sentiment de collaboration avec ce qui l’entoure jugeant bon de partager son expérience et ses idées avec les autres dans le but de leurs faire croire qu’ils ont de l’importance à ses yeux, même si pour la plupart de ses décisions il compare ses alliés à de la chair à canon bonne à faire des tests pour confirmer ses stratagèmes plus qu’autres choses[ Voir plus bas le sujet dépendante et impavidité] . Habituellement, retranché n’appréciant point être entouré d’une famille chaleureuse et d’un amour fort, il manifeste une agressivité soudaine ayant pour cause la forte émotion. Cyclothymique, rempli de projets et surprises, il se caractérise par un esprit vif, analytique, tactique à la fois curieux et ratiocineur, il ne recule devant rien pour accomplir avec courage et seulement avec courage pour ne pas dire honneur ses plans les plus loufoques.

Comme dit plus haut ce zigue plutôt instable par ses envies soudaines a toujours mésestimé et juger bienséant et propitiatoire de ne pas fonder une famille.

Se laissant bercer souvent par son intuition et son premier contact avec une personne pour la cataloguer selon sa propre jauge analytique mettant de coté les dires de ceux qui ont pu la connaitre ou aurait entendu parler d’elle, il réussit curieusement à s’en fixer les véritables et insécables attraits spirituels, comme un mental s’accommandant particulièrement à un physique quelconque. L’habituelle flopée d’êtres humains arborant des caractéristiques banales se voit substituer par l’originalité base de l’individualité et du détachement fastidieux qui rend si particulier notre leader opaque.

Pointilleux dans l’application de ses missions, il arbore un air patibulaire complété par une posture sévère viennent accompagner la carrure. Se déclarant comme étant une perle précieuse et rayonnante au cœur d’une mer agitée. Il aime à penser qu’il sera toujours admiré de tous malgré les situations dans lesquelles il se retrouvera, étant l’unique espoir d’un peuple oublié. Désignant le sacrifice humain comme indispensable pour une prospérité stable et sûre, préserver les vies de chacun aussi importantes soient-elles n’est guère important selon Cao Cao.

Si par mégarde votre regard vient se croiser avec celui du chef du son, indubitablement, la première esquisse qui se dégagerait de votre esprit ce serait ce charisme mystérieux. Cette aura à la fois sibylline et macabre. Placide, flegmatique et patient, il s’amuse à récupérer toutes les informations que peut son ennemi connaitre avant de lui ôter la vie, qu’il s’agisse d’une croyance erronée, d’un homme oublié, sa curiosité grandissante n’arrive jamais à être ébranlée par ce qu’il aspire comme informations écrites ou dites oralement. L’air austère qui le caractérise derrière son masque de combat impose le respect à ceux qui le côtoient quotidiennement et n’oublions pas aussi qu’il gardera toujours scellé en lui le code d’honneur des guerriers qui se distinguent par le courage, la politesse, la fierté, la loyauté, le respect, la rectitude, l’honnêteté et la rigueur envers ses semblables de ce rang, gardant sa tête toujours relevée vers le ciel, afin de voir toujours plus loin et surtout n’oublier jamais son appartenance première, une sorte de vue du monde globale d’un point insignifiant sur ce monde.

A coté de ce nombre important de « défauts » vient se placer en membre d’or, un travers ayant embrigadé bon nombre d’humains, il s’agirait de ses dits penchants aux cris hystériques des donzelles, les femmes en langage commun. Notre jeune ami ne peut s’empêcher de succomber à cette chaleur tropicale qui remplit instantanément son corps à la vue d’une créature aux formes affriolantes et ragoutantes qui caractérise la gent féminine de toute taille généralement. Coureur de jupon ? Bien sûr que non, enfin vous il préfère cet élixir corporel que les buvettes rapides altérant le fragile esprit masculin dont il dispose.

En dernier lieu, nous allons reprendre le point impavidité ainsi que d’autres qui resteront à jamais abstrus. Le premier se forge en ces mots en un vœu de duel constant, préférant un combat en solitaire pour ne pas dire suicidaire qu’un combat mêlant antagoniste et protagoniste en tout genre, comme épris par la dignité d’un samurai en face de son ennemi. Enfin , subissant la loi du tallions dans les relations humaines grâce ou à cause de son statut de Kage suspecter de faire vivre la flamme d’Orochimaru dans l’ombre, le carnassier du pays des rivières ne pouvait que se cacher derrière son voile de naïveté et de pureté encore non ôter pour l’instant ; En somme, Coa Cao Mengde est – à peu de choses près – comme vous et moi…

→Histoire

« La guerre est d'une importance vitale pour l'État. C'est le domaine de la vie et de la mort : la conservation ou la perte de l'empire en dépendent ; il est impérieux de bien le régler. Ne pas faire de sérieuses réflexions sur ce qui le concerne, c'est faire preuve d'une coupable indifférence pour la conservation ou pour la perte de ce qu'on a de plus cher, et c'est ce qu'on ne doit pas trouver parmi nous. Sun Tzu»

Vingt ans avant la fin du règne Takeda sur les terres de Bozhou et leurs unifications totales avec le pays des rizières. Les doutes insidieux annoncés au Daimyo susnommé par le cafard libidineux qui n’était d’autre que son Shogu Ujizane Mikata ont poussé les hauts dignitaires du pays de Bozhou à se révolter exigeant une sortie militaire en guise de démonstration de force pour apeurer les autorités ennemies frontalières et les sommer de quitter les terres saintes de Luoyang et autres provinces connues. De leurs côtés, La longue lignée des Cao se préparait à recevoir un nouvel arrivant pour lequel il avait beaucoup de projets et en qui il avait placé beaucoup d’espoir. Il s’agissait d’Aman le petit nouveau né de l’union de dame Tsujimura Kimie et Cao Song, leur joie était bien grande à ce jour à côté de la détresse d’un pays corrompu dirigé par un homme désemparé aux principes honorables.

Comme on pouvait s’y attendre, le pays de la flore réagit négativement à la joute terrestre générée par les nobles cyniques désabusés de l’affront qu’ils ont subi après avoir rendu visite à l’empereur du pays. Leur état moral était bien compréhensible, même cela n’était qu’une manœuvre pittoresque pour obliger Bozhou à accomplir un acte d’agressivité et détruire leurs alliances fragiles. Revenant à présent à notre petit bout qui semble prendre un malin plaisir en embêtant ses parents qui prenaient soin de lui. Il est à noter aussi que le jeune garçon âgé à présent de 3 ans avait une vue sur le monde bien curieuse qui le rendait bien intéressant, on lui apprit depuis sa tendre enfance qu’un tissu d’ineptie aussi pertinent et réel soit il ne remplace jamais les actes synonymes de lucidité, de courage et d’honneur qui eux peuvent soigner les estafilades causées par les nobles de ce pays.

Plus tard après que son père soit l’image d’une trahison incomprise et lui l’otage d’un pays aveuglé, il apprit le payement des échéances avec promptitudes. Encore immature et désinvolte, stockant en lui une vitalité et une énergie exceptionnelle, il allait toujours vers l’avant sans pour autant perdre le nord, malgré sa situation qualifiait de prisonnier politique il réussi à avoir la meilleure éducation qu’il soit. Il faut dire que les bibliothèques et les sensei qui sont eux sources d’informations et progression ne manquaient pas à l’appel. Non soucieux des sévices odieux que pouvait subir sa mère devenue la femme du Shogu Yasui aux ordres du maitre serpent par la force des choses et dans le but de protéger la vie de son fils jusqu’à maturité, du moins jusqu'à ce qu’il soit dans son pouvoir de la libérer, Aman s’était isoler en un apprentissage du genjutsu et autres bases ninja. Il avait toujours pris l’habitude d’emmener avec lui un carnet, un crayon et un livre à la provenance mystérieuse.

Curieux, son sensei Kuroro Lucifuru se laisse tenter par la lecture des notes de sa jeune pousse. Il y trouve résolution analytique, idées farfelues sur le déroulement d’un enchainement illusoire, il y trouve gravés un laïus bien intriguant ayant pour sujet les pièces maitresses permettant un succès et une gloire éternelle à savoir l’élément qui fait naitre en nous l’unité de la pensé, qui nous rend inébranlable dans la mort et le malheur, le temps et l’espace qui génèrent en nous une sérénité incomprise et une connaissance parfaite du haut et du bas, du loin comme du près, du large et de l'étroit, de ce qui demeure et de ce qui ne fait que passer. Vient s’ajouter à cela la discipline et l’amour qui se traduit par l’équité universelle envers ceux qui nous sont soumis, qui nous obéissent qui encourage notre hargne de victoire et plus généralement l’amour de tout homme vivant en ces terres.

Parcourant l’une des nombreuses pages animées des gribouilles, de « Pavillons » et autres symboles incompris, Kuroro trouva une sorte de journal intime ayant deux tranches d’âges, l’une narre la vie qu’a eu son protégé depuis ses trois ans jusqu'à l’âge de sept ans et la deuxième s’étend jusqu'à ses 11 ans, la première fait référence à trois parchemins non ouverts offerts par le Daimyo Takeda, son père et un vieillard qualifié de sénile et mystérieux qu’il devra ouvrir à son prochain anniversaire c'est-à-dire 12 ans. Ce n’est là que les grandes lignes, la vie quotidienne et le bonheur que partageait le garçon avec sa famille y étaient bien inscrits. En continuant cette lecture riche en émotions et informations, on trouve une allusion au frère Sanada.

Si on se réfère à ce qui est écrit ici-bas, le jeune garçon rencontrait son frère défini comme déserteur infâme deux jours par semaine, la relation qu’il a tissé avec lui semble être parentale et bénéfique pour cet homme solitaire, elle semble aussi adoucir les deux parties qui s’isolent tantôt à la montagne Fujiyamada tantôt à la foret bleuâtre se trouvant au sud de Luoyang. Afin d’instaurer un développement constant des forces alliées, il ne faut pas oublier que les sacrifices sont essentiels pour cela et sa mère n’est en aucun cas une exception. C’était bien drôle que de lire cela. Même si le sensei était un vassale des d’Orochimaru il ne s’abaisserait jamais à leurs actes en livrant le garçon, de ce fait, il décida de garder sa lecture pour lui sans gêner son acolyte avec des questions douteuses. Annonçant son retour, Motaku permet à son maitre de remettre ses biens en ordre pour que ce dernier ne le soupçonne pas d’infidélité, ce qui lui aurait couté simplement un manque de confiance entre enseignants et élèves pendant une courte période.

Les choses reprirent leurs cours normaux, le quotidien chargé du jeune homme s’en suivit comme d’habitude. Il entamait sa journée avec des exercices basiques d’invocations élémentaire complétés par une bonne heure de méditation en position de Zazen afin de méditer, malaxer son chakra le préparant à l’action suivante. Il en profitait bien souvent pour se reposer et se calmer, puisque la tension qui se tenait aux séances de taijutsu était bien désagréable. Enfin, les saisons se succédèrent les unes après les autres laissant libre cours aux désirs rata des habitants d’ Bozhou avides de sang et de conquêtes. Leurs jeunes pousses étaient soumises à une vie tyrannique ne leur permettant en aucun cas de voir la lumière du jour. Un camp militaire était comme façonné pour les jeunes garçons afin d’être envoyé en tant que chair à canon sur le front, les opposants aux pays ennemis.

Le spectre « orné » de douleur et de souffrance guettait l’heure de sa rédemption avec attention. Épinglé au mur tel un papillon de cauchemar emprisonné et abandonné de tout espoir, il tentait tant bien que mal de trouver une lueur d’espoir devant un groupe de tortionnaires mal formés. La chance d’une délivrance ainsi qu’une preuve d’honneur afin de sauvegarder la fierté qu’il a pendant défendu vint à lui pour la première fois lors de l’unification du pays de Bozhou avec celui des rizières, des clans s’étaient décidés à rejoindre l’ennemi, d’autres à s’isoler devant ce qu’il disait être une disgrâce. Les nobles avaient organisé un tournoi dans le but de prouver leurs puissances aux autres et choisir dans un temps futur « LE » leader de rébellion Ouest visant à détruire les parasites peuplant leur pays. La finale se conclut sur un duel à la fois apocalyptique et mythique entre deux anciens rivaux.

Soso même si ses efforts étaient appréciables et respectables se voyait envoyer au tapis d’un coup de maitre révélé par Hojo au dernier moment. Son coup ne lui avait laissé aucune possibilité d’esquive ou de contre-attaque, il se voyait propulser tel un rocher en feu dans les airs avant qu’on lui porte le coup de grâce en l’abattant au sol tel un chien pittoresque au bord du déshonneur et de l’abjection. Ayant pitié de l’être qu’il a qualifié de faible, il lui laissa la vie sauve, malgré les cries des spectateurs qui voulaient la mort du dit cabot des Cao. Se relevant quelques secondes après que l’arbitre le déclare hors-jeu, il regard avec mépris son adversaire, l’effervescence que le jeune pousse avait enfuit en lui s’était manifesté en un instant pour se calmer brutalement acceptant avec fair-play sa défaite.

Seuls le temps et leur écrivain divin nous révéleront la suite des événements, leurs passés et leurs avenirs. On se contentera de ce peu avant de vous faire gouter au plat de résistance qui se résume en une ère de rébellion.

|-l'illusion est plus forte dans la vérité -|
→Le 37éme Stratagème.

___________________________________

«La voix harmonieuse des pierres sonores est la seule qui s’élève
en cet endroit animé d’une lumière pure pénétrante les vieux couvents.
Les milles bruits du monde s’éteignentun à un laissant les pensées de l’homme
dont le cœur s’est épuré s’étendre à traversles montagnes, illuminées par une
verdure fleurit éclairant la cime des arbres couvrant sa démarche olympienne.»
_____________________________________

♣† →Orochimaru-Kōhai,
Vous avez déçu le ciel et défiguré la terre.
Vous avez tué notre seigneur et détruit notre nation.
Désormais, notre patrie n’aura plus à craindre votre despotisme.
Nous réunissons des soldats de justice.
Pour nettoyer votre mal grandissant.

Quand cette proclamation vous atteindra,
Ça sera le jour de votre perte.← †♣

-| L’avènement des héros. -|

→La monté sur le toit s’accompagne du retrait de l’échelle.

Ainsi la bête aux abois se battra jusqu'à la mort. ←

« Loin des alanguissements artistiques, près de la dynamisation fantaisiste. Cao cao astreindra l’ennemi à quitter ses terres !»

Avant de circuler progressivement à travers les territoires du pays et au-delà des frontières, la proclamation écrite par Cao Cao chef de la propagande Ouest comme le laissait entendre ses frères d’armes avait réussi à piéger plusieurs camps militaires du maitre serpent. En effet, grâce à sa stratégie dite du feu qui se résumait à un embrasement total des cantonnements ennemis en utilisant les troupes voisines comme appâts, n’hésitant pas à sacrifier plus de cent vies humaines pour en tuer une dizaine, le héros du chaos atteint son but en faisant trembler l’ordre d’Orochimaru retranché dans les forêts les plus sombres. Les aléas générés ici et là-bas motivaient les pelotons alliés petit à petit. Ce parfum capiteux et envoutant qui caractérisait cette fameuse liberté s’étant enfin révélée, la mise en place d’une rébellion groupée constituée principalement de militants des rizières croyant encore en une nouvelle ère, celle du Paradis pourpre ! Devient par conséquent indispensable.

Les tambours de guerre animés par l’appel du clairon révolutionnaire furent donnés, tous les héros de ce pays à la population modeste et incertaine, pour la plupart inconnus se mobilisent afin de s’unir sous la bannière d’un commandement unique. Ce protocole de communication n’avait pas été utilisé depuis la troisième guerre shinobi, le chant macabre et les frissons de peurs traversèrent tous deux les esprits de nos chers combattants donnant vie au cri du guerrier qui résonna deux jours et deux nuits. Le but étant d’affoler et de terroriser l’ennemi, les sons graves et vifs étaient donc la meilleure solution. L’origine de l’annonce devait impérativement être connue du public pour un impact plus grand mettant les points « menaces imminentes » en avant.

Les révolutionnaires comme s’amusait à les appeler les sbires d’Orochimaru, qualifiés de parasites libidineux et archaïques sans aucun but autre que la corrosion de leurs pays commençaient petit à petit à s’organiser, se regroupant dans des tentes de pourparler. L’influence de la voie pourpre se répondit en quelques jours à travers plus de dix provinces du pays de la flore. Soucieux du développement de son action, Cao Cao décida d’établir un premier rassemblement afin de réunir ses généreux dispersés dans les diverses contrées du pays et s’inspirer de leurs avis pour établir un plan d’attaque. S’accaparent de la direction de la réunion, il écouta chacun de ses confrères présentés son rapport pointu, avec sur leurs visages des estafilades de combats, preuve d’une difficulté marquante dans le recueil d’informations.

Plaçant nos regardes une nouvelle fois sur l’un des chefs de rébellion les plus délurés, mais sans aucun doute les plus astucieux, on pouvait apercevoir en avant-plan une passerelle de bois, courant le long de sa maison, coiffée d'un toit pentu. Sur cette dernières on pouvait retrouver des cloisons coulissantes, composées d’un cadre en bois ainsi qu’un papier laissant passer la lumière. L’intérieure de ces habitations était vide, très peu de meubles s'y trouvaient ,des tatamis composés principalement de nattes de pailles de riz avoisinant les un mètres à deux mètres avaient remplacé des tapis recouvrant habituellement le sol.

Le climat du pays et plus précisément de cette région Ouest reste contrasté, rythmant grâce à cela la vie de ces habitants tout en leurs offrants la chance de manger certains fruits et légumes en une saison peu convenable.

Les 4 saisons se sont succédées dans canton selon les dire de certains voyageurs , une première saison froide et ensoleillée sur les frontières Est, une deuxième caractérisée par des journées chaudes et ensoleillées , rafraichissant les nuits vers l’ouest, une autre distinguée d’un ciel chargé affectant les récoltes par des pluies battantes vers le nord et une quatrième concernant le sud, qu’on qualifiera d’humide animée par une atmosphère lourde .

Se déplaçant à présent vers la porte d’entrée , animé par un arrivage de généraux régulier, prenant place sur la droite de Cao Cao à genoux prés de lui avec en face de ce dernier des vétérans de tout âge, le dialogue pouvait enfin débuter. Celui qui prit la parole en premier était Cao Zhen de la province de Yanzhou se trouvant au centre du pays, convoités par diverses fractions de la rébellion, contrôlé jusqu'à maintenant par le maitre rampant et ses troupes, qui ne fléchissent devant aucun déferlement ennemi, qui ne cesse de s’affaiblir laissant à découvert le coté Ouest. Il se prononça à cet instant ferrement disant clairement que son détachement devait être soutenu au plus tard pour ne subir aucune perte conséquente

Cao Zhen →

Des groupes de brigands et bandits sous la tutelle du maitre serpent, puissants et forts d’une élite composés de pas moins de cent hommes se sont dispersés dans la région extérieur de Yanzhou et se prépare à une guerre prochaine, il s’organise tout en repoussant les hommes de notre âge qui peine à tenir un rythme régulier pour les retenir loin des région Est et Ouest. Ecoute moi donc Motoku, à l’est et au nord nous disposons d’allié puissant qui ne demande qu’à être ton égale en cette rébellion le titre de membre du conseil leurs sufrriraient. , les forces du sud se joindront impérativement nous de peur de subir des pertes solitaires de leurs cotés et voir leurs bannières tombés une première fois et relever par nos hommes une seconde fois .

Cao Pi →

Mise à part notre région, il y a dans ce que tu cites autant d’hommes de talents que de soldats s’entrainant chaque jour en attente de l’appel final, n’est ce pas ? Cao cao ! Malgré cela tu refuse toujours de réagir ?

Dirigeant ce qui lui servait d’éventail vers Cao cao , les deux oncles s’attendaient à une réponse des plus astucieuses de la part de leurs neveu, ce dernier écoute leurs dire tout en ignorant la question en elle-même pour se tourner vers un autre membre de la réunion.

Cao Cao →

Ecoutant Runaria-Dono à présent, mais tout à d’abord qui vous accompagne sous cette apparence enfantine à votre gauche ?

Runaria Tentai →

Un garçon sans aucun passé ni relation dont la discussion en compagnie d’un garde avait attisé ma curiosité. J’ai prit par conséquent la liberté de l’amener ici... Maitre Cao Cao , connaissez vous Luu ?

Cao Cao →

C’est le chef de la brigade fantôme réputés pour ses interventions rapides .

Runaria Tentai →

En effet, c’est l’un des généraux d’Orochimaru, qui a toujours su repousser nos troupes, je suis persuadés qu’il est à la tête de tout nos problèmes aux routes Est et Ouest, il nous suffirait de casser leurs formations afin de motiver le reste des troupes ...

Levant sa main gauche exigeant le silence complet, il déposa une main sur menton avant de sourire concluant le rassemblant aussi vite qu’il le débute, donnant l’ordre à ses propres généraux de se préparer à une offensive finale du coté sud , laissant les soldats d’Orochimaru atteindre nos demeures. Il allait appliquer l’un des stratèges les plus basiques en situation incertaine et en connaissance du terrain. « Attire l'ennemi dans un piège, puis isole-le. »Dans cette optique, il fallait placer le groupe adverse dans une situation apparemment favorable, le poussant à avancer, le couper de toute coordination ou renfort, et le mener dans une impasse.

Épuisant les ennemis arrogants tout en se servant de ce piège pour discipliner ses troupes en les confrontant à des forces ennemies supérieures ainsi placés en des positions dépourvues de toutes routes, ils combattront de tous leurs cœurs. Réciproquement, quand Cao Cao assiégera un ennemi plus faible, il laissera une brèche dans l'encerclement pour empêcher que l'ennemi ne combatte avec « l'énergie du désespoir ». Dans l’une de ses plus grandes batailles, il réussit à se défaire de plusieurs pointures que dirigeait me maestro Orochimaru, lui permettant indirectement de se débarrasser de ses faibles membres et n’en garder que plus coriace.

Échangeant ninjutsu en tout genre, s’imposant grâce au chef d’équipe Motoku qui disparaissait de temps à autre laissant place à des créatures aussi effrayantes que baroques. La dernière symphonie dite interdite s’était déclarée en face de la brigade fantôme l’obligeant à quitter les terres des rizières. Viscéralement ou plutôt machinalement il devint un leader à la tête de tout un pays et d’une puissance militaire organisée, la beauté de cette tapisserie générée pas ses mains artistiques donnaient naissance à une nouvelle accouplée à un ciel inondé de lumière, au feuillage d'arbre transférait vers les plaines vertes enjolivées par la présence d’une liberté absolue !

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