[Kumo] Fusasaki Genichi

Nom :

Prénom : Fusasaki

Âge : 18 ans

Taille/Poids : 5 pieds 5 pouces et 60 kg

Description Physique : (5 Lignes minimum)

Comment fait-on pour passer inaperçu? Et bien c’est très simple, il suffit de ne pas vous faire remarquer. C’est pour cela que j’ai proscrit depuis longtemps les vêtements trop colorés à mon goût. J’opte plutôt pour des vêtements de couleurs sombres, comme le noir qui est ma couleur que j’adopte le plus souvent. J’aime bien aussi cacher les caractéristiques physiques de mon visage afin que le mystère demeure total. Mais si jamais vous réussissez à me le faire enlever, vous pourrez voir un visage rempli de cicatrices, ainsi qu’un tatouage dans le bas de mon cou prouvant mon appartenance au tranchoir. En plus, du haut de mes 5pieds 5 pouces et de mes 60 kilos, je suis en mesure de me faufiler un peu partout grâce à une agilité très prononcée. En plus de ma capacité à aller n’importe où, je possède aussi une musculature impressionnante, mais faut dire aussi que suite à mes nombreuses années d’entrainements, la logique veut que mon corps se soit fortifié avec le temps et ces muscles en sont la preuve. Je dois aussi vous avouer que mon corps est loin d’être un joyau parfait, sans défauts et brillant d’un éclat presque divin. Suite à mes nombreux entrainements en compagnie de mon maitre, j’ai subi de nombreuses blessures plus ou moins graves. Mon corps est parsemé cicatrices éparpillées par centaine sur toute la surface de mon corps. Des simples coupures à des blessures bien plus graves, mes cicatrices démontrent ce que j’ai dû endurer pour arriver à l’endroit où je suis aujourd’hui. Ce sont en quelque sorte des trophées indélébiles que je garde avec moi pour ne jamais oublier que je suis fait de chair et de sang, mortel pour l’éternité. Et si un jour vous réussissez à voir tout ça, c’est que votre mort est propre et que par un dernier combat, vous succomberez sous l’épée de Damoclès que je représente.

Description Mentale : (5 Lignes minimum)

Quoi dire de plus si ce n’est que plus jamais, je ne me laisserai marcher sur les pieds. Les erreurs de mon passé doivent rester dans le passé et le futur est fait pour ne plus les refaire. Même si j’ai connu mes moments de faiblesse, alors que je me trouvais encore sous la tutelle de mes faux parents, aujourd’hui j’ai grandement changé et je peux vous dire que mon tempérament est à la hauteur de la souffrance que je peux vous faire subir. Ne craignez rien, je ferai tout ce qui est en mon possible pour que votre torture dure des heures, si ce n’est des jours entiers. Vos menaces ne changeront rien au résultat final puisque de par mon bras, vous tomberez tous. Aucune pitié ne hante mon esprit et vos supplications n’y changeront rien. Craigniez moi ceux qui on entendus parler de mon maitre, car en son nom, je poursuivrai son œuvre. Si vous voulez garder la vie, devenez mon esclave et servez-moi, mais gare aux erreurs, car ils pourront vous coutez très cher. Aussi, vous tous qui allez me côtoyer, gardez bien en tête que je ne suis plus l’être faible que j’ai déjà été. Si vous me cherchez, vous me trouverez, et cela, avec un petit supplément bien sûr de mon propre crus. Je peux être très gentil parfois, mais si vous me rabaissez, c’est six pieds sous terre que je vous enverrai. Vous tous qui croyez pouvoir me cerner et me connaître, ne vous trompez pas, je ne suis peut-être pas celui que je vous laisse paraître. En moi demeure l’âme de mon ancien maitre et à travers ses ambitions, je vis afin de suivre la route qu’il a tracée. Si je dois vous abandonner, je le ferai sans remords et poursuivrai mes propres ambitions. Ne conter pas sur moi, car à tout moment, je pourrai vous laisser tomber si votre cause est trop juste, car pour moi, le bien n’existe pas et le mal est ma seule raison de vivre.

Nindo : À travers moi survivra le tranchoir, même au delà de la mort.

Village Choisi : Kumo

Rang: Juunin

Affinité(s) : Raiton et ??

Histoire : (20 lignes minimum)

La détresse d’un jeune garçon

Quand on nait, on désire tous recevoir l’amour d’une mère et d’un père. Être vue par eux comme étant la plus belle chose qu’ils ont eue dans leur vie. Être au centre de cet amour incommensurable que tous parents ont pour leur enfant, pour cet être de chair et de sang dans lequel leur propre sang coule. Être cette raison pour laquelle ils seront prêts à tout laisser tomber pour assouvir les besoins de leur petit. Tant de sentiments charnels et amoureux auxquelles tous nouveaux nés ont droit. Mais pourquoi n’ais-je rien reçu de tout cela? Pourquoi ais je été abandonné par ceux qui étaient censés me protéger et de prendre soin de moi? Tant de questions que je me pose encore aujourd’hui et pour lesquelles je n’aurai jamais de réponse, puisque ces personnes, qui portaient le surnom de parent, étaient mortes depuis belle lurette déjà. Ils ne sont pas morts de mes propres mains, contrairement à ce que peuvent penser toutes ces personnes qui autrefois faisaient partie de l’entourage de cette famille dans laquelle je ne me reconnais plus aujourd’hui. Leur mort, ils se la doivent à eux même. Ce pauvre petit enfant que j’étais n’était nullement concerné dans ce qui c’était passé. La mort n’était venue les chercher, tout simplement. J’aurai pu tenter de mettre un terme à ce massacre qui avait été exécuté par un des serviteurs du mal, qui était entré par effraction dans notre maison ce soir-là, mais ma conscience m’avait retenue et m’avait fait comprendre que leur mort était justifiée. De par ce cadeau de la vie, mes parents ne récoltaient que les conséquences du traitement qu’il m’avait fait subir depuis toutes ces années. Aucune rancœur ne s’était développée dans mon cœur pour cet homme qui avait mis fin à la vie de mes parents. Au plus profond de moi, leur mort m’avait apporté un certain soulagement, libéré des tortures physiques et mentales qu’ils me faisaient subir. J’étais maintenant libre de toutes entraves, mais du haut de mes 6 ans, je ne connaissais pas encore ce qu’était la vie en étant libre. Ces gens auxquelles on m’avait confié ne m’avaient jamais permis de laisser libre recours à mes plaisirs enfantins et enfermé dans une minuscule chambre, pendant trop longtemps, je n’avais pas eu la chance de découvrir ce qui pouvait se cacher aux abords de l’orée de la forêt dans laquelle mes parents m’interdisaient systématiquement de me rendre. Je n’étais qu’un détenu dans ma propre chambre et à aucun moment, je ne pouvais me permettre de déroger des ordres que me lançaient si souvent mes parents biologiques. Si j’osais répliquer à ce qu’ils venaient de me demander, j’avais droit à des coups de bâtons. Le nombre de coups qu’ils pouvaient me donner n’était pas régi par une loi à laquelle ils s’étaient entendus auparavant, mais bien au bon vouloir de chacun. Parfois, il pouvait se passer 5 bonnes minutes où les coups fusaient à un rythme régulier et avec une force exagérée. C’était peut-être le seul moyen qu’avaient trouvé mes parents pour m’éduquer, mais au final, ça n’avait donné qu’un enfant dérangé qui ne faisait que reproduire ce qu’il avait toujours appris, le mal. Si j’étais intransigeant aujourd’hui, sans peur et sans pitié, c’était en partie à cause de ce qu’ils m’avaient si bien appris. Ils m’avaient enseigné de nombreuses choses malgré le fait que pour eux, je n’étais considéré que comme un obstacle à leur bonheur. Ils avaient très certainement trouvé une quelconque satisfaction à me battre de la sorte pour tout et n’importe quoi, mais maintenant, ils avaient eu ce qu’ils méritaient et pour toujours, je glorifierais cet homme qui, cette nuit-là, avait mis un terme à la vie de mes deux tortionnaires.

Le trésor caché

L’histoire de ma vie était remplie d’évènements tous aussi sinistres les uns que les autres, mais dans ce passé sinueux, un seul homme avait trouvé en son cœur une place pour le jeune orphelin que j’étais devenu suite à sa libération. N’ayant pas le cœur fait que de pierre, il n’avait pas pu mettre fin à ma vie aussi facilement et de toute façon, je ne lui aurais pas permis! La mort de mes parents ne m’avait fait ni chaud ni froid, mais ce n’était pas une raison pour ne pas tenir à la vie. Le meurtrier avait bien tenté de mettre fin à mes jours, après s’être occupé de cette femme et de cet homme qui s’étaient, si je peux le dire ainsi, occupés de moi pendant ces 6 dernières années, mais il n’avait pas réussi. Contrairement à mes parents, qu’il avait tués, sans broncher, je ne m’étais pas laissé faire, tenant à cette vie misérable que j’avais pourtant vécu jusque-là. Il avait décelé en moi quelque chose que mes anciens parents n’avaient jamais vu en six ans de cohabitation. Il avait vu une détermination et un désir de transmettre cette violence que j’avais appris de par cette éducation forcée que m’avaient donnée mes défunts parents. Voyant en moi ce trésor brut qui n’avait pas encore été extrait, il m’avait proposé de le suivre et de partir à l’aventure à ses côtés. Quitter cette demeure miteuse où je n’avais connu que des souvenirs répréhensibles. Sans hésiter, j’avais accepté son offre et étais parti à la découverte du monde.

De l’âge de six ans jusqu’à une dizaine d’années, j’avais parcouru une distance bien plus grande que celle que j’avais traversée en six ans chez ces personnes que je ne considérais plus comme tels. Grâce à l’offre que m’avait faite le tranchoir, j’avais découvert bien des peuples ainsi que bien des endroits. Dès la première année, mon nouveau tuteur m’avait fait découvrir ce qu’était le monde ninja. Ayant été aveuglé et enfermé pendant un nombre considérable d’années, j’avais passé outre de nombreuses opportunités. J’aurais très bien pu être admis à l’académie ninja depuis des lustres déjà, mais malheureusement pour ma culture personnelle, j’étais passé à côté de cette chance de faire de moi quelqu’un. De prouver au monde entier que mon nom pouvait apporter la crainte et la peur. Que mon bras pouvait pourfendre le bien et faire régner ma propre loi. À l’âge de 10 ans, j’aurai pu être quelqu’un, mais mon retard m’avait empêché de rejoindre ce niveau que j’aurai bien voulu atteindre. Mais au moins, avec l’aide du tranchoir, de son surnom, j’avais appris les bases de l’entrainement ninja. Il avait même fait en sorte que je puisse entrer à l’académie afin de pouvoir passer les tests pour obtenus le rang de genin. Malgré de nombreuses difficultés, j’avais réussi quand même à obtenir ce titre.

À la recherche de ma puissance

Après avoir passé cette première épreuve, le tranchoir avait poursuivi mon entrainement afin que je reprenne le temps que j’avais perdu. Grâce à son enseignement, j’étais parvenu à atteindre un niveau que je n’aurai jamais cru possible. En plus d’être un homme des plus redoutés, dû à de nombreux massacres qu’il avait exécutés, dont certains à mes côtés, il était un ninja des plus redoutable. Malgré les quelques défaites auxquelles il avait fait face, il était pour moi un combattant hors pair. C’est donc à ses côtés que j’avais appris mes toutes premières techniques assez puissantes pour mettre hors d’état de nuire mes adversaires. Maitrisant le raiton, il m’avait appris de nombreuses techniques provenant de son inventaire personnel et comme j’avais la chance de maitriser le raiton moi aussi, j’avais eu la possibilité d’apprendre une grande partie des techniques qu’il maitrisait lui-même. C’était principalement grâce à lui que j’étais devenu, à l’âge de 15 ans, un adversaire des plus redoutables. En plus d’être d'aucunes pitié et de ne laisser aucune chance à mes ennemis, j’avais eu la chance d’être lié très étroitement aux rumeurs que mon maitre avait fait véhiculer lors de ses précédents voyages. Ils avaient massacré de nombreuses personnes dans sa vie et étant son principal élève, j’avais en quelque sorte hérité de cette crainte que les gens lui portaient. Ils savaient tous que puisque j’avais été aux services de cet homme, qu’il m’avait certainement donné un peu de son tempérament colérique et sans pitié. Comme on dit, telle père tel fils et puisque je considérais le tranchoir comme étant mon vrai père, je pouvais dire que cette allusion, d’un fils à son père, était véridique dans mon cas. Après de nombreuses années de perfectionnement et d’apprentissage, j’étais arrivé à cette étape qui allait me permettre de monter une nouvelle marche des rangs ninjas.

Un avenir prometteur

De genin, j’allais devenir un chuunin confirmé et grâce au conseil que mon père m’avait donné, j’avais réussi cette seconde épreuve haut la main. Plus rien ne pouvait m’arrêter maintenant et tant que je demeurerais aux côtés de mon père, j’allais pouvoir devenir de plus en plus fort, afin d’espérer un jour dépasser le maitre, mais pour moment j’avais bien des choses à apprendre de lui avant de pouvoir le dépasser. Ce n’était pas encore chose faite et beaucoup de travail m’attendait, mais le tranchoir était bien prêt à me montrer tout ce qu’il connaissait afin qu’au moment de sa mort, sa personne puisse vivre à travers son élève. C’était un honneur pour moi que de faire vivre sa mémoire et en tant que fidèle élève, je lui en avais fait la promesse. Mais pour le moment, ce qui importait était de poursuivre l’entrainement afin d’être en mesure d’atteindre le rang de juunin, mais pour que cela devienne possible, il me fallait tout d’abord que je dédisse une fausse fidélité à un des villages cachés que j’avais eue la chance de visité pendant mes nombreuses escapades et me rappelant de l’ambiance et de l’atmosphère que j’avais ressenties au village caché de Kumo, j’avais décidé d’aller m’y établir pour de bon afin de parfaire mon entrainement et de participer aux nombreuses missions du village. Mais malheureusement, le tranchoir n’aimait pas vraiment ce village et pour cause puisqu’il lui était arrivé, à de nombreuses reprises, d’effectuer quelque crimes qui avaient fait de son nom, une cible prioritaire. Le remerciant pour tout ce qu’il avait fait pour moi, je le quittai pour me diriger vers Kumo, lieu où une toute nouvelle vie m’attendait. Le tranchoir m’avait guidé depuis bien longtemps déjà et le moment était venu de suivre ma propre voie. Le futur s’ouvrait maintenant à moi et c’était à moi de jouer pour que mon nom demeure, pour l’éternité, dans les esprits de tout le monde.

Une nouvelle vie

Mon arrivée à Kumo n’avait pas été des plus tranquilles et ce lien qui me rattachait au tranchoir avait fait en sorte que les kumoiens avaient développé une certaine peur à mon égard, mais ils avaient quand même accepté que je m’installe au village. Mais malgré l’autorisation que j’avais eue, les hautes instances de Kumo me gardaient à l’œil. Du simple fait d’avoir été l’élève de cet homme, j’avais été catalogué comme ennemis potentiellement dangereux et c’est cette étampe, qu’ils avaient mise sur mon front, qui avait fait en sorte qu’ils avaient apporté toutes ces précautions à mon égard, mais au plus profond de moi-même, je ressentais une joie intense, un bonheur que je n’avais ressentis qu’à quelque reprises seulement. Lorsque j’étais encore tout jeune, je n’avais connu que le martyr et les coups de bâton répétés, mais maintenant que j’étais devenue quelqu’un, je me sentais intouchable et prêt à tout pour ne jamais revenir en arrière. Je me sentais si bien que je ne pouvais croire une seconde que j’avais déjà été aussi soumis aux bons vouloir de ces êtres indignes qui s’étaient autoproclamés mes parents. C’était presque pathétique et je m’en rendais bien compte aujourd’hui. J’avais passé au travers de nombreuses épreuves que la vie avait mises sur ma route et avec l’aide du tranchoir, j’avais réussi à les surpasser sans crainte, me rendant ainsi d’une assurance presque indéfectible. Une telle assurance pouvait parfois faire peur aux passants, mais c’était grâce à cela que l’on pouvait différencier les vrais hommes des peureux. Avant, je faisais partie de ces peureux qui s’agenouillaient sous la puissance et la force du premier venu, mais aujourd’hui, c’était les autres qui subissaient mon courroux et qui me craignaient. Cette peur que je pouvais ressentir me permettait de devenir plus fort, plus puissant. Je m’abreuvais à cette source qui me permettait chaque jour de faire un nouveau pas vers l’avant, grandissant de plus en plus avec les jours qui s’écoulaient, mais malgré toute cette crainte que les autres pouvaient avoir à mon égard, j’étais demeuré fidèle au village caché de Kumo et avait effectué à leur côté de nombreuses missions qui leur avait permis de renforcer énormément leurs liens politiques et militaires. Pour eux, j’étais devenu un élément clef lorsqu’ils se devaient d’envoyer une personne pour exécuter leurs salles besognes, mais en effectuant ce qu’ils me demandaient, j’avais réussi à développer avec eux des liens toujours plus forts et aujourd’hui, ils avaient presque oublié que j’avais déjà été l’élève de l’homme qu’ils surnommaient le tranchoir. Mais ce lien ne s’était pas amenuisé pour autant et demeurait toujours aussi fort. Cela faisait un bon moment que je ne l’avais pas revu, mais je savais qu’il était encore en vie. Je ressentais au plus profond de mon âme sa présence et son cœur qui battait encore.

Le +

Où avez vous connu le forum ? Connu par Orochimaru et Mata.

Votre Expérience du RP : 7 ans minimum si ce n'est pas plus

Votre activité sur le forum : 7(échelle de 1 à 10)

Un Dernier Mot ?
Que la croisière s'amuse xd

¤

Hum, ça reste limite pour Jounin tout de même :/

Validé en Chuunin avec 140Pts de Carac de base Wink

bon jeu =)

[Kumo] Fusasaki Genichi

[Kumo] Fusasaki Genichi

Re: [Kumo] Fusasaki Genichi