Naruto Sekai Densetsu
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Kamakura Itô
Kamakura Itô
¤ Godaime Raikage ¤
四五代目・雷影

Messages : 105
Kumo Gakure
Âge : 29 ans
Taille/Poids : 1m74 / 65 kg
● Disponibilité du joueur ● : Fais gaffe ! Je mords !

Fiche Ninja
Evolution de l'XP:
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PV:
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Ven 1 Avr - 19:17








Comment se nomme votre personnage ? A quel Clan appartient t'il / est t'il rattaché ?
Je suis issue de la lignée des Kamakura, qui, compte tenu du grand palmarès de certains clans de ce village, n’est qu’un petit grain de poussière perdu dans l’immensité d’un flot de puissances démesurées. Mes parents ne sont que de simples civils, ayant trouvé refuge à Kumo lorsque leur petit village adjacent fut jadis détruit par des hordes de barbares assoiffés de sang et de destruction. Mon nom n’est alors que très peu connu, n’étant que la seule représentante de notre famille en temps que Kunoichi. Aussi, ils m’ont prénommée Itô.


A quel Village votre personnage appartient-il ? Comment considère t'il son village ?
Je voue une profonde foi envers mon village, et surtout pour ceux qui y vivent au quotidien. Je suis certaine qu’en cas de problème ou encore si une guerre venait un jour à pointer le bout de son nez, nous parviendrons à repousser les assaillants pour conserver notre patrie saine et sauve. Kumo est le seul village que j’ai jamais connu, celui qui nous a recueillis mes parents et moi à l’un des moments les plus critiques de nos vies. Et pour cela, nous lui en sommes redevables jusqu’à la fin de nos jours. Avant d’être conduite à sa tête, j’étais déjà bien prête à donner ma vie pour le protéger, et veiller au confort des habitants y demeurant. Bornée de mon état, je n’aurais jamais laissé quiconque s’en approcher et s’en emparer sans n’avoir versé tout le sang que mon pauvre corps pouvait contenir. Et aujourd’hui encore, je demeure dans cette optique, sauf que ceux qui sont chargés de veiller à ma bonne santé ne semblent pas véritablement de cet avis. Et pourtant, je suis grande, et je sais me défendre toute seule.


Comment décririez vous votre personnage ?
En théorie, je me situe dans la catégorie de la plupart des femmes de mon genre, des Kunochi. Un corps élancé sans graisse superflue, des muscles légèrement apparents sous ma peau qui m’offrent une force suffisamment prononcée pour me servir des arts martiaux comme je le souhaite. Possédant des cheveux d’une couleur blé ne dépassant pas mes épaules en terme de longueur, ma peau va de paire avec cet attribut, et se trouve être relativement claire, ne semblant pas éprouver le besoin de devenir un peu hâlée malgré des jours passés en plein soleil. Mes yeux sont dotés d’une couleur peu commune, d’un gris foncé dans lesquels on peut se perdre aisément. Ils semblent toujours vides, comme s’ils faisaient tâche au beau milieu de mon visage arborant presque continuellement un sourire. Au fond, c’est cet air rayonnant qui n’a rien à faire là, mais en tant que Kage, il me semble que je n’ai pas le droit de montrer le visage d’une quelconque dépressive. Et puis même, je n’aime pas que les autres se soucient de ma santé, qu’elle soit physique ou mentale. Avant de passer Raikage, du temps où je n’étais encore qu’Anbu, mon sourire avait simplement disparu, laissant mon visage neutre, sans bonheur ni tristesse descriptible dessus. Et maintenant, afin de pouvoir redonner espoir aux gens qui l’ont perdu, je souris sans cesse, du moins autant que j’en suis capable, essayant de leur remonter le moral via ce moyen et quelques phrases lâchées à l’improviste.

Et pour le coté banal, il n’est présent que dans le cas où je suis entièrement vêtue des pieds à la tête, les bras recouverts en priorité. Il arrive parfois que lorsque je me bats, et commence à sérieusement m’énerver au beau milieu, ou encore en tout début, j’ôte la partie supérieure de mes vêtements, ne conservant que les bandes au niveau de mon buste destinées à tenir ma poitrine. A ce moment là, un grand tatouage de dragon qui me prend une grande partie du dos est visible, l’une de ses pattes s’enroulant autour de mon bras droit et atteignant presque mon coude, ainsi que sa tête visible jusqu’au dessus de mes seins. Il est d’une couleur rouge foncée, se mêlant d’une manière agréable aux tons beiges de ma peau. Mes vêtements du haut ne sont pas ardus à retirer, me permettant de conserver la sangle où je cale la lance dans mon dos afin d’avoir les deux mains libres. J’ai le sang chaud, et démarre véritablement au quart de tour pour peu que l’on me prenne la tête, même gentiment. Ce sont ces petits moments de colère qui me permettent de me sentir encore humaine, et surtout de pouvoir ressentir des émotions autres que celles formées par ma coquille. En fait, je suis toujours comme celle d’avant, me forçant à redevenir celle que j’étais trois ans auparavant, à la seule différence que je ne le fais pas de bon cœur. Quoi que plus le temps passe, et plus mon esprit parvient à s’alléger de la souffrance subie…


Quel type de ninja est votre personnage ?
Si le Taijutsu fait parti de mon point fort en matière de capacités de combat, je parviens sans trop de mal à me servir du Ninjutsu. Après de nombreuses années d’entrainement, j’arrive à combiner ces deux styles de jutsu pour en faire des combos dévastateurs. Quant à l’art des illusions, je crains fort que cela ne soit pas ma tasse de thé. J’ai tenté plusieurs fois de m’y mettre, mais sans réelle accroche de ma part. Alors peut-être qu’un jour, j’essaierais d’apprendre à manier mon chakra de telle sorte à produire les effets désirés, pour pouvoir me battre comme cette femme qui faisait autrefois partie de mon village, quand j’étais encore gamine. Il me semble qu’elle se prénommait Raï, avec ses cheveux bicolores et sa dégaine étrange à mes yeux, mais son usage particulier du Taijutsu m’avait séduite à l’époque. C’est d’ailleurs après l’avoir vue à l’œuvre que je m’étais lancée dans le Taekwondo, même si je n’en mettais pas plein les mirettes de mes adversaires avec un quelconque mirage afin de pouvoir les taper tranquillement sans qu’ils ne puissent réagir d’une quelconque manière. Pour ma part, je me contente de foncer dans le tas, bien que j’essaie de ne pas trop m’exposer inutilement, cherchant à y aller en douceur. Sauf quand je craque, ce qui arrive malheureusement plus souvent que prévu.


Quelle enfance a eut votre perso ? Parlez nous de sa famille.
Je ne me souviens pas des premières années de ma vie, et pourtant, d’après ce que je pus entendre venant de mes parents, je ne dois qu’à ma bonne étoile le fait d’être encore en vie. Notre village fut attaqué par des bandits qui réduisirent à feu et à sang tout ce qui se trouvait sur leur passage, laissant parfois quelques femmes en vie pour abuser d’elles avant de leur trancher la gorge. Le frère de mon père présent chez nous ce jour-là y perdit la vie, permettant à mes deux géniteurs de s’en tirer avec moi, enfant née depuis peu enroulée dans une couverture et blottit dans les bras de sa mère. J’ignore quelles sortes de formalités administratives ils eurent à remplir, mais le fait est que nous fûmes acceptés au sein du village. Et bien que nous étions constamment surveillés dans nos débuts, les ninjas chargés de notre garde eurent tôt fait de comprendre que mes parents étaient tout ce qu’il y avait de plus inoffensif.

Lorsque je fus en page d’entrer à l’académie, j’en fis la requête à mes parents. A force de voir tous ce beau monde se pavaner autour de mon être frêle, je ne pouvais qu’avoir envie de faire la même chose qu’eux tous. Et de toute manière, ce fut une promesse donnée par mon père, en guise d’une sorte de paiement afin de pouvoir intégrer Kumo de manière perpétuelle. Laisser leur fille rejoindre les rangs ninjas dès qu’elle en aurait l’âge. Et ce fut ainsi que je me retrouvais à suivre les cours parmi tous ces enfants dont les parents étaient déjà eux-mêmes shinobis, et purent leurs enseigner quelques maigres savoirs éparses qui les rendaient supérieur à moi, qui ne savait strictement rien du maniement de leurs arts. Je ne connaissais même pas les notions de Jutsus, ni même les différentes sortes de techniques qui pouvaient exister en ce bas-monde. Dans ma tête, être ninja cela signifiait de sauter partout, et d’avoir la force de dix ours.

J’eus bien des difficultés à m’intégrer. Mes premiers jours se passèrent en crises de larmes, entre deux réprimandes reçues, ou encore des quelconques moqueries lancées par mes camarades. Je finis par m’y habituer, mais me plongeais dans une profonde autarcie de laquelle je m’étais presque jurée de ne jamais sortir. Et pourtant, une fois génin, j’en fus bien forcée. Je fus mise dans une équipe contre mon gré, avec deux autres garçons que je n’avais jamais vu auparavant, ou alors auxquels je n’avais jamais prêter attention. Et comme tous les enfants de leur âge, une fois placés en duo, la petite fille s’en prenait plein les dents. Mais curieusement, étant forcée de coopérer pour certaines missions avec eux, je relevais lentement la tête, jusqu’à éclore et sortir de ma coquille. A partir de cet instant, je m’étais juré de devenir plus forte qu’eux, et de les vaincre un jour juste pour voir leur visage crispé sous la douleur et le dépit de la défaite tout juste infligée. Je trainais également pendant quelques semaines avec une senpai, Raï, qui avait su me réconforter grâce à quelques réconfortantes paroles, et m’apprit quelques notions de Taekwondo.


Quel est l'évènement le plus marquant de la vie de votre personnage ?
Il y a deux choses dont je suis certaine de me souvenir jusqu’à mon dernier soupire. La première, la fois où j’ai faillit réussir à battre le Raikage. La seconde, produite bien peu de temps après cet évènement, la mort de l’être que je chérissais le plus au monde. Cela remonte à peu près à trois ans, au jour où j’osai enfin mettre en pratique les paroles que je prononçais depuis mon plus jeune âge. Vous verrez, un jour, j’arriverais à battre un kage… Et vous ne vous moquerez plus de moi ! Paroles enfantines prononcées à l’encontre de mes deux coéquipiers de l’époque, équipe formée du temps où nous n’étions encore que de simples genins. Ces deux gamins m’en avaient fait voir de toutes les couleurs, mais je ne m’étais jamais laissée faire, contrairement au temps où je n’étais encore qu’aspirante. Au fond, ce fut grâce à leurs moqueries incessantes que je parvins à remonter la pente et à ne plus jamais à démordre de mes objectifs. Alors je m’étais entrainée d’arrache-pied, tâchant de perfectionner du mieux que je le pouvais mes techniques de ninjutsu ainsi que celles de corps à corps, pour enfin arriver au jour tant attendu.

Face au Raikage, je crus bien que j’allais faire dans mon pantalon malgré mes vingt-cinq ans passés. Je n’étais plus une gamine, et pourtant je me sentais infiniment microscopique face à un homme de sa prestance, et surtout doté d’une telle puissance. Mes genoux tremblotaient, mon souffle s’accélérait. Malgré mon hésitation flagrante, je parvins à m’en tirer remarquablement bien, de telle sorte qu’Ei me remarqua parmi toute la horde de bouseux qui avaient osé le défier et m’offrit de m’apprendre le Nintaijutsu. Une chance inespérée pour moi, une nouvelle qui me brulait les lèvres tant que je n’en aurais pas fait part à Kazuki, mon tendre fiancé encore vivant à cette époque. Les jours passèrent, puis les semaines. La mission dans laquelle il était assigné avec son meilleur ami était éloignée de notre beau village, mais ne comportait pas de réel danger d’après ce qu’il avait pu m’en dire. Il m’avait peut-être menti, mais je ne m’en faisais pas, l’homme avec lequel je devais me marier dans les mois à venir n’avait rien d’une lopette bien incapable de se défendre. Et à une distance aussi grande, il était probable que la moindre petite chose non prévue en chemin fasse prendre un certain temps de retard. Mais plus le temps passait, et plus l’étau qui se resserrait autour de ma gorge devenait insupportable. J’aurais pu me la jouer cool et me dire qu’il prenait un peu de bon temps quelque part hors des murs de Kumo, mais je n’y parvenais plus.

Et malheureusement, même si j’avais toujours tenté de me rassurer intérieurement, mes craintes étaient fondées. Lorsque Katsuro revint au village, il était seul et blessé. Il avait perdu son bras, mais égoïste que j’étais, ce ne fut pas son état qui m’importa au premier abord. La seule chose que je voulais savoir, c’était où se trouvait Kazuki à cet instant présent. Et sa réponse me dévasta, me bouleversa jusqu’aux tréfonds de mon âme, me plongeant dans un état second durant plusieurs jours. Il était mort.


Quelle est la principale motivation de votre personnage? Quel est son nindô ?
La coquille dans laquelle je vis depuis plus de trois ans s’effrite de jour en jour. Jamais je n’ai montré mes sentiments à une tierce personne qu’à moi-même durant tout ce temps, si ce n’est l’éclat de larmes dans lequel je me suis retrouvée lorsque Katsuro annonça sa bien triste et morne nouvelle. Mais d’après le code ninja, nous ne devons être que de petites machines sans conscience propre, destinées à obéir aux ordres sans ne jamais flancher. Ce que je me forçais à suivre, et ceci jusqu’à me retrouver dans une toute autre dimension que la mienne. Si bien que mes objectifs premiers seraient de retrouver une joie de vivre sans facettes internes, juste un simple sourire qui viendrait spontanément du fond du cœur, et non pas artificiel et imposé par ma fausse personnalité. Et même si je suis comme avant, une petit quelque chose était brisé au fond de mon cœur, et je souhaite récupérer la partie manquante du puzzle. Aussi, je voue corps et âme à mon village, autrement je n’aurais jamais tenté de mener à bien des missions périlleuses dans le seul but d’endiguer la mal-être qui m’avait soudainement subjuguée.
En temps que Raikage, je compte également faire en sorte que mon village ne tombe jamais. Je sens parfois la crainte de certaines personnes vis-à-vis des derniers évènements, la chute de Suna. C’est une chose parfaitement légitime, même si je fais de mon mieux pour rassurer les quelques âmes inquiètes.


Quelle est la personne en laquelle votre perso a le plus confiance ? Envers qui votre perso est-il le plus loyal ?
La confiance est une chose bien rare et difficile à offrir ou bien à obtenir. Enfin, la confiance aveugle, celle qui vous permet de mettre votre propre vie dans les mains d’autres personnes. J’ai la chance d’en connaître, de ces connaissances qui agrémentent ma vie de petits moments agréables au milieu d’une solitude forcée par un esprit malade. La première, un ami d’enfance, que je pense pouvoir apprécier sans avoir à douter de sa fidélité. J’ai appris à comprendre Katsuro au fil des ans, même si au début j’éprouvais une profonde animosité à son encontre, l’âge et la maturité décidèrent d’un tout autre avenir. Il me semble même que je pourrais éprouver quelque chose de plus fort pour lui, mais la carapace que je me suis forgée autour de mon esprit est telle que je ne permettrais peut-être jamais de laisser libres mes sentiments les plus enfouis. L’autre personne est une femme que je ne connais pas depuis si longtemps, peut-être trois ans, mais qui me sert en quelques sortes de garde du corps. Et même si lors de nos premières rencontres la tension qui émanait d’elle était si épaisse que l’on aurait presque pu marcher dessus, ce ressentiment s’est apaisé. Je sais que je peux lui faire confiance les yeux fermés, car elle a servi le précédent Raikage, Ei Yotsuki, pour qui je pourrais offrir ma vie sur un plateau d’argent. Quant à la dernière personne, elle n’est malheureusement plus de ce monde… Kazuki, qui se situe toujours au fond de mon cœur, et je crois même qu’il continue à veiller sur moi de là où il se trouve.


Quel est le point fort de votre perso ? Sa plus grande faiblesse ?
Je suis bornée, profondément bornée. Nombreux sont ceux qui me dirent, par le passé, que j’étais têtue comme une véritable mule. Beaucoup pourraient penser que cela constitue un défaut, mais moi je le prends comme ma force. Jamais je ne lâche l’affaire, quitte à ramper à terre à moitié morte pour obtenir ce que je désire le plus au monde, ou encore simplement pour mener à bien une quelconque mission. Une fois que je me lance dans quelque chose, je m’y tiens, et je ne trahis jamais ma parole. Mais à cela s’ajoute également un grand défaut, celui de mon tempérament de feu qui me fait péter les plombs à n’importe quel moment, n’importe où. Cela peut aussi bien être à une importante réunion entre hautes têtes du village qu’au beau milieu d’une classe à l’académie parce qu’un enfant l’aura un peu trop ouverte à mon goût. J’en viens également vite aux mains, ou crache au sens figuré des paroles pleines de haine au visage de mes interlocuteurs qui m’auront parlé ou regardé d’une manière m’inconvenant. Et après je me retrouve toute sotte à présenter mille-et-une excuses à la personne concernée, en espérant qu’elle ne soit pas trop rancunière. Quoi qu’en prenant du grade, je tends plus à me calmer, mais il arrive encore souvent que je réagisse au quart de tour.


Quels sont les gouts de votre perso ? Votre perso a-t-il des manies ? Des habitudes ?
Depuis la perte de l’être aimé, j’ai tendance à avoir des comportements qui étonnent certaines personnes. Je regarde souvent les étoiles pour demander conseil à Kazuki, et réponds parfois à voix haute comme s’il m’entendait réellement. Je tiens cette habitude d’une femme rencontrée dans le désert, non loin de Suna. Au début, je l’avais prise pour une folle, cette Yozora, à exécuter diverses danses face à une sorte de tombeau à moitié enseveli sous des tonnes de sable, à la nuit tombée. Nous avons commencé par nous battre, enfin plutôt elle m’agressa en me voyant et je ne fis que me défendre, jusqu’à ce qu’elle s’aperçoive que je n’étais que de Kumo, et que surtout, je ne lui voulais aucun mal. Elle m’expliqua longuement que c’était sa manière de prier et d’honorer ses ancêtres, croyante jusqu’au bout des ongles qu’elle était. Une croyance bien à elle, qui s’imprégna en moi comme un parfum aux flagrances trop relevées lors de la disparition de mon fiancé. Mon Dieu, c’était lui, m’observant du ciel de ses yeux doux.

J’apprécie également être en communion avec la nature, et n’hésite à sortir hors du village pieds nus dans le seul but de ressentir l’herbe fraiche sous mes orteils, ressentir la présence de Dame Nature en personne. En contraste avec ceci, il m’arrive parfois de fumer, et de boire un peu trop que de coutume. Fort heureusement, ces deux choses nuisibles ne sont que très occasionnelles. Aussi, j’aime dormir, mais étant insomniaque, il m’arrive parfois de faire une sieste dans la journée lorsque le compte de sommeil n’aura pas été atteint durant la nuit.


Votre perso a-t-il des préjugés ? Que déteste t'il ?
Dans ma tête, la plupart des hommes ne sont que des êtres machos pensant qu’une femme sera nécessairement inférieure à eux, que ce soit sur le plan physique que sur le plan mental. Certes, je suis prompte à reconnaître que la génétique ne nous aide pas vraiment, et leur offre des avantages en ce qui concerne la force et autres attributs de ce genre. Mais en travaillant correctement, n’importe quelle personne de sexe féminin peut parvenir à dépasser ces humains bourrés de testostérone. Au fond, je déteste ceux qui classent les gens dans des catégories toutes prêtes, ne leur collant qu’une simple étiquette sur la tête sans même ne chercher à les connaître, ou encore savoir de quoi ils sont capables. Je hais également les personnes qui cherchent par tous les moyens de tout contrôler, quitte à pourrir la vie de ceux qui les entoure.


Comment votre personnage définirait-il sa carrière en quelque mots ? Quel est son grade ?
Je ne fis pas un parcours du combattant en passant mes grades à la vitesse de l’éclair comme certains shinobis aiment s’en vanter. Bien au contraire, j’avais un peu de retard par rapport aux autres compte tenu de mes origines, à cause des lacunes que je me tapais dans le domaine. Je suis passée genin avec deux ans de retard, qui se cumulèrent par la suite. Après cela, je n’eus pas plus de problèmes que tous les autres pour gravir doucement les échelons, me retrouvant à peu près au même niveau qu’eux tous, avec une telle envie de progresser que je continuais à m’entrainer même lorsque notre sensei ne nous l’imposait pas. Vers mes vingt-cinq ans, période où Kazuki disparut et âge où j’étais déjà juunin, je choisis de rejoindre les rangs des anbus avec l’espoir de tuer par hasard ceux qui m’avaient ôté la chose la plus chère à mon cœur. Trois ans passèrent ainsi, avec l’entrainement suivit avec le Raikage de l’époque, avant que je sois nominée à sa place, choisie par ses propres soins ainsi que les membres du conseil.


Et vous ?
Ahah ♥







RaynoX
RaynoX
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Konoha Gakure
Âge : ₪ 30 ans.
Taille/Poids : ₪ 1m81 - 67kg.
: ₪ Hi no Kuni.
: ₪ Konoha Gakure no Sato.
一族 : ₪ Hatake.

● Disponibilité du joueur ● : Non disponible, trop de RP en cours.

Fiche Ninja
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[Kumo] Kamakura Itô Empty Re: [Kumo] Kamakura Itô

Ven 1 Avr - 19:44
Huhu Raikage-Sama !
Fiche très agréable, j'ai beaucoup aimé comme je m'y attendais à vrais dire :'D

Je te valide donc Godaime Raikage avec +8XP bonus ; D
Fais du bon boulot surtout !
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