Présentation de Kôga Kusari.

Comment se nomme votre personnage ?

Kusari -qui signifie chaine- est son prénom, qui lui a été assigné par sa mère, qui pensait que lui donner le nom d'une arme ferait de lui quelqu'un de respectable et respecté. Kôga est quand à lui le nom de son clan.

A quel Village votre personnage appartient-il ? Comment considère t'il son village ?

Tout juste aspirant de Kaminari no Kuni, son intégration à l'académie de ninja l'a honteusement poussé à devenir un des défenseurs de ce dernier. Encore très jeune, il n'a aucune idée de ce qu'est la mort, le sacrifice et la souffrance : mais il n'hésite pas un seul instant à crier sur tous les toits qu'il serait capables de tout abandonner à ses trois entités pour protéger les siens, comme doit être prêt à faire tout ninja qui se respecte.

Comment décririez vous votre personnage ?

Naïf, jovial, rêveur. Kusari a toujours été un grand fervent de tout ce qui peut toucher au métal, et il aime plus que tout au monde se servir de tout ce qui est froid, tranchant et métallique pour agresser sans retenue ceux qui tenteraient de lui faire du tort. Rester sur place et canarder son adversaire est une excellente solution pour lui pour ne pas se fatiguer en combat, ce qui ne l'aide d'aucune manière à vaincre son plus grand défaut : la flemme.

Quel type de ninja est votre personnage ?

Il n'en est pas encore un, mais espère cependant bientôt le devenir. Il ne sait pas encore vraiment dans quel sens s'orienter, mais sa grande soeur devrait très certainement l'y aider. Il faudra donc être patient pour savoir ce que deviendra le petit Kusari.

Quelle enfance a eut votre perso ? Parlez nous de sa famille.

Alors qu'il n'avait encore que six ans, Kusari fut séparé de sa grande sœur, du fait de l'égoïsme exacerbé de leurs parents. Il dut ainsi vivre avec sa mère, pendant que sa sœur s'installait quelque part dans le village avec son père. Cette dernière, avant de partir, lui présenta un de ses oursons en peluche : d'un blanc immaculé, elle lui promit qu'elle le conserverait toute sa vie, s'en servant comme d'un substitut de son petit frère, comme si ce simple jouet pouvait leur permettre de conserver le lien qui les unissait. Il fit de même que sa sœur, et lui emprunta un ourson à la fourrure aussi noire que la nuit. Il préservèrent ainsi, chacun de leur côté, le sentiment familial mais pourtant unique qui les reliait. Mais cela ne fut pas suffisant. La mère de Kusari préférait sa carrière à l'éducation de son fils, le délaissant bien trop souvent pour pourvoir aux besoins de son entreprise d'armement. Plus seul que jamais, il passait tout son temps avec sa peluche, comme s'il cherchait à travers elle la présence réconfortante de sa sœur.

Quel est l'évènement le plus marquant de la vie de votre personnage ?

Puis tout bascula : le jeune garçon tomba gravement malade, et sa mère, bien trop occupée à développer de nouveaux équipements pour sa firme, ne s'en rendit même pas compte, ou plutôt elle jugea qu'il n'y avait pas de quoi s'affoler. C'est ainsi qu'il traversa toute une partie du village, son ours à la main, en haletant et en titubant pour retrouver sa soeur, dans l'espoir d'en obtenir quelque soutient. Et à sa grande stupeur, et à son grand désarroi, il reconnu dans une des poubelles qui se trouvait en dehors de la maison de son père la peluche qui était sensé le représenter. Profondément déçu, il la prit sous son bras, comme s'il cherchait à se sauver lui-même d'une fin atroce, et s'introduit dans la maison par l'arrière du jardin. Là-bas se déroulait une scène que son petit cou fragile ne parvint pas à supporter : à la place de l'ourson blanc qu'elle lui avait promis de toujours conserver se trouvait un petit chien blanc que son père, ainsi que sa nouvelle femme, venaient à peine de lui offrir. Il comprit immédiatement qu'il n'avait pas sa place dans ce cadre idyllique, et s'encourut sur-le-champ se réfugier chez-lui.

Comble du malheur, un orage se déclencha à ce moment précis, surprenant le pauvre Kusari dans sa course folle, et le précipitant tête la première à même la terre. Le visage ruisselant de larmes, de goutes de pluie et de boue, il fixait sans espoir ni aspiration le ciel, comme s'il lui demandait pourquoi ses parents l'avaient mis au monde. Sa maladie profita de cet instant de faiblesse pour se propager rapidement, et elle lui fit violence pour le maintenir durant de longues et pénibles minutes dos au sol. Bientôt, une fine coulée de sang déborda de son bouche douloureusement entrouverte, et déambula lascivement le long de ses joues, comme si elle appréhendait le fait de se confondre avec cette terre salle et malpropre. Alors que tout semblait perdu, sa soeur apparut juste au dessus de lui : elle le fixait penchée en avant avec un large sourire aux lèvres, et lui tendit une main salvatrice pour l'aider à se relever. Étrangement, la pluie ne semblait pas avoir d'emprise sur elle, et la traversait tout simplement. Elle l'aida ainsi à rentrer chez lui. Quelques jours plus tard, quand il se réveilla enfin, elle fut la première personne qu'il aperçut. Une farandole de médecins se trouvaient eux aussi à son chevet, visiblement rassurés que le petit garçon se soit enfin réveillé. Étrangement, il semblait être le seule à encore pouvoir voir sa soeur.

Quelle est la principale motivation de votre personnage? Quel est son nindô ?

Un jour, alors qu'il passait tranquillement devant l'académie du village caché de Kaminari no Kuni, sa soeur lui confia ses impressions quand au fait d'être un pratiquant du ninjutsu de la façon suivante : « c'est classe d'être un ninja ». Ainsi, il demanda à sa mère la permission de s'inscrire à cette fameuse académie, et malgré qu'il soit un peu vieux pour cela, il y fut, pour son plus grand bonheur, accepté. Il n'a pas de nindô à proprement parler, ou plutôt, il n'en a pas encore. Ce n'est qu'un jeune rêveur plein d'ambition qui souffre autant de son inexpérience en matière de ninja que de sa naïveté. S'il devait avoir un nindô à proprement parler, ce serait probablement « protéger le village » ou « être le plus fort », car sa soeur lui a dit que ça fait classe.

Quelle est la personne en laquelle votre perso a le plus confiance ? Envers qui votre perso est-il le plus loyal ?

La personne en laquelle mon personnage a le plus confiance est sans conteste sa soeur, ou plutôt l'image qu'il s'en fait. Puisqu'elle n'est qu'une projection idéalisée de son esprit, jamais elle ne tentera de lui porter préjudice de quelque manière que ce soit, et cherchera toujours à l'aider à avancer dans la vie, que ce soit pour retrouver une paire de chaussette ou s'entrainer, elle sera toujours présente pour lui.

Quel est le point fort de votre perso ? Sa plus grande faiblesse ?

Le point fort de mon personnage est sans aucun doute sa soeur. Quand à sa plus grande faiblesse, elle est encore une fois sa soeur. D'un côté, elle lui apporte un soutient et un réconfort que personne d'autre au monde ne peut lui apporter. Mais d'un autre, elle n'est qu'une tare psychologique qui inscrit mon personnage dans un rôle de malade imaginaire duquel il aura le plus grand mal à s'extraire. En combat, il ne souffre d'aucune faiblesse, mais ne jouit également d'aucun point fort. Ou plutôt, ses capacités ne lui permettent pas encore de prétendre posséder un réel potentiel dans quelque spécialité que ce soit, et son inexpérience est, pour le moment, ce que l'on peut chez lui définir effectivement comme sa plus grande faiblesse.

Et vous ?

18 ans, jeune et fringuant... Vous me connaissez déjà =D

Donc voilà, j'ai demandé la suppression de mes deux autres comptes ,je me suis trompé dans le pseudo d'akogare, et je n'arrive plus à me connecter sur Hoshikuma (et puis ça pue de jouer un mec avec des cheveux rouges é_è!), et me voilà avec (enfin), mon compte définitif^^